L'avantage de l'aspect visuel est que cela a permis à Stanislas Gros de représenter cette mort qui rôde et plane en permanence au dessus du condamné, cette astuce graphique renforce le côté dramatique et pesant du récit
Dans la chronique, je lis ceci:
pas vraiment d'accord: moi je la trouve au contraire fort sympathique cette petite présence permanente avec son expression attentive à tout ce qui se passe... Elle n'est pas cruelle, même pas impatiente... elle en devient familière, presque rassurante.
Je n'ai pas lu le texte d'Hugo mais si l'idée était d'exprimer le côté dramatique et pesant tu récit, pour moi au moins, ça n'a pas fonctionné
Ceci dit, j'aime beaucoup l'album, et il me donne envie de lire cet essai de Victor Hugo.
Je n'ai pas lu le texte d'Hugo mais si l'idée était d'exprimer le côté dramatique et pesant tu récit, pour moi au moins, ça n'a pas fonctionné
Condamné à mort! (...) Quoi que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés.
C'est curieux comme les sensibilités peuvent être différentes...
Pour moi, cette tête de mort omniprésente aux côtés du prisonnier m'a plutôt stressé et a donné un côté oppressant au récit. Un peu comme si quoiqu'il fasse, quelques soient ses pensées ou ses actes, il ne pouvait pas échapper à La Mort.
ça a marché pour d'autres:
je suis peut-être pas normale moi... ou alors, quand on est plus vieux peut-être que l'idée de la mort devient plus... familière
Juste pour dire que mon blog était cassé mais il qu'est réparé, et que, pour ceux que ça intéresse
je viens d'y mettre la première page du Portrait de Dorian Gray, sur lequel je travaille actuellement.
Je serai au festival de Blois, et je passerai à Tours le mercredi 26 septembre, juste avant le festival.
Sinon, la semaine prochaine je suis à Annecy le vendredi 7 septembre, et à Thonon les Bains, en Suisse le samedi 8. Voilà voilà
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