Rhaaa, Lemkor, que d'imprécisions, que d'approximations dans ton résumé.
Je reprends:
En 1870, Napoléon III répond aux provocations des Prussiens et s'engage dans une guerre contre la meilleure armée du moment. Ce qui devait arriver arrive et les Français sont battus.
Le 4 septembre 1870, Napoléon est sorti manu-militari par les Parisiens (principalement) et la république est proclamée. La guerre continue. Pendant tout l'hiver Paris est assiégé (ce qui est très important pour la suite).
Le 18 janvier 1871, Les Allemands vainqueurs installés dans Versailles proclame l'Empire Allemand (La réunification de l'Allemagne a eu lieu). Bismark a atteint son but et Guillaume 1er est proclamé Kaiser.
Les politiciens des années 1830, Thiers en tête obtiennent la paix de l'Allemagne contre l'Alsace et la Lorraine et une indemnité énorme (les canons Krupps ont été forgés avec l'or français).
Les ALlemands imposent que Paris leur soit livré, ce qui ne plait pas du tout aux parisiens qui ont tenus tout l'hiver sans se rendre ni capituler.
Le gouvernement français en place (avec Thiers à sa tête) siégeant à Versailles demande que les parisiens soient désarmés. Les canons sont les premières pièces à devoir être ramenées à Versailles.
Il faut savoir que ces canons ont été payés par le peuple de Paris avec une souscription populaire, leur retirer ces canons, c'est donc leur retirer leur biens propres.
Le 18 mars, l'armée régulière se rend donc sur la Butte Montmartre pour prendre les canons.
La suite est dans le Cri du peuple.
Les parisiens décideront de faire la première république communiste égalitaire et même pas léniniste
on appelera ça la Commune.
Cette commune ne fera que se battre contre l'armée régulière Versaillaise et ne pourra jamais mettre en oeuvre ses grands précepts.
On notera que Thiers obtiendra de Bismark la libération des prisonniers de guerre pour renforcer ses troupes contre les parisiens.
La commune se terminera dans le sang de la semaine sanglante (21 au 28 mai 1871) avec des fusillades dans le cimetierre du père Lachaise.
On enverra les fortes têtes non tuées (comme Louise Michel) dans les colonies notamment en Nouvelle Calédonie.
Le bilan de cette tentative de république égalitaire est le massacre en règle de la population ouvrière Parisienne et la destruction des archives parisiennes.