Le Bossu de Montfaucon

de **Philippe Pelaez** » 12/04/2022 17:05

Message précédent :
Rhôôôôô...

Ben on a enlevé le fourreau... enfin, le pommeau de l'épée de Quasimodo, pour éviter les petites remarques :-D

de **Philippe Pelaez** » 12/04/2022 17:07

Alors ? On aurait dû le laisser ou quoi ?

:lol:

de **Le Rescator** » 13/04/2022 09:58

C'est juste que la fusée, partie se trouvant entre la garde et le pommeau, est légèrement disproportionnée en diamètre et qu'il convient sans doute de faire dépasser un peu plus l'épée pour distinguer la lame tout en choisissant un modèle géométrique parmi les types de pommeau disponibles.

de **Philippe Pelaez** » 14/04/2022 08:44

Rhôô que tu causes bien... :-D

de **jolan** » 14/04/2022 16:49

Philippe Pelaez a écrit:Rhôô que tu causes bien...

On est justement plusieurs par ici à penser que le jour où Le Rescator scénarisera une BD on la fuira comme la peste, à cause de sa syntaxe et sa manière si particulière de construire une phrase, qui fait qu'à la fin de la phrase on ne sait plus comment elle a commencé, ni de quoi elle parle.

:lol:

de **Le Rescator** » 15/04/2022 09:35

Philippe Pelaez a écrit:Rhôô que tu causes bien...

de **zxcvbnm** » 15/04/2022 09:58

Philippe Pelaez a écrit:Voici une belle (et très surprenante) histoire qui vous attend pour le premier semestre 2020 : Le Bossu de Montfaucon, dessiné par le talentueux (et trop rare) Patrick Tandiang !

On sent l'objectivité désintéressée

de **Philippe Pelaez** » 22/04/2022 17:39

Oui mais en même temps c'était au tout début du projet, hein ! Il y a... presque trois ans.

Et Patrick était toujours des nôtres...

de **Karzak** » 31/05/2022 09:15

La chronique du second tome de Le bossu de Montfaucon est en ligne !

de **Le Rescator** » 31/05/2022 12:46

Il semble qu'une version longue serait appréciée ...

de **Philippe Pelaez** » 31/05/2022 13:11

Ouiiiiiiiiiiii !

C'est tout le problème des 54 pages : y'en a pas assez :-D

de **EAGLE333** » 31/05/2022 14:36

de **Nicolas_Courdouan** » 21/07/2022 08:09

J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce récit en deux parties. Le cocktail de références historiques et littéraires est très bien dosé et fait mouche, le découpage est dynamique, dépourvu de longueurs et le trait d'Éric Stalner sublime le tout. J'espère que M. Pelaez nous fera un jour replonger dans cet univers ou celui d'autres personnages médiévaux, réels ou imaginaires.