fancomvous a écrit:Bdazur a écrit:Pourquoi les concepteurs du BdM font un superbe travail de référencement mais acceptent consciemment ou non d'établir des cotes ni actualisées ni réelles ? Peut être que leur ambition n'est pas de donner une valeur marchande réaliste des bd. Et alors leur ambition est ailleurs
Parce qu' ils glissent inéluctablement vers la seule propre satisfaction des possesseurs du bouquin.
Quel plaisir que de voir écrit noir sur blanc que ses albums valent des fortunes. On paie autant pour l' autosatisfaction que pour un véritable outil.
D' autres argus ont toujours plus ou moins pris ce pli . Le Y&T mentionné plus haut, les Akoun pour les tableaux, lithos, gravures, photos et sculptures, etc.
De même que certains catalogues "critiques" de petits restaurants qui ont comme principaux clients justement ces restaurateurs...
alimenter l'autosatisfaction...je n'y avais pas pensé, interessant.
sybaris a écrit:Considérant, la loi de l'offre et de la demande et la réalité d'internet qui la module en permance, il est périlleux de vouloir d'une quelconque manière pointer du doigt, le BDM. Malgré tout, pour le passionné de BD que je suis, le BDM est un must. En effet, il me plait d'avoir à disposition, cette belle brique qui me alimente ma passion, un Argus qui me permet d'avoir une idée de la valeur de ma collection.
justement c'est ce qu'on veut tous avoir, "une idée de la valeur de notre collection" (ou d'une BD), et c'est là que le bât blesse, aujourd'hui le BDM n'est plus capable de donner une idée de la valeur d'une collection, les cotes étant obsolètes. A moins qu'ils se contentent ( je parle des cellules grises du BDM) juste de nous passer la pommade...