LADY LIBERTY, ou les aventures du fameux chevalier d'Eon, icône de l'ambiguïté sexuelle et espion(ne) de Louis XVI, au cœur de la guerre d'indépendance des États-Unis...Une comédie d'espionnage et de cape et d'épée entre Versailles, Londres et Boston.
Si l'esthétisme manga acidulé d'Aurore évoque les séries d'animation japonaises romanesques comme « Lady Oscar » et « La Tulipe Noire » (pour ceux qui s'en souviennent); l'érotisme et les sous-entendus graveleux des (excellents) dialogues de Jean-Luc Sala, sans oublier le contexte géopolitique de la Révolution américaine (expliqué plus en détails dans le cahier bonus de fin d'album), s'adressent clairement à un public averti...
Preview du
TOME 2 par Aurore sur son site :
“Mille millions de mille milliards de mille sabords de tonnerre de Brest ! C'est de l'eau !”