bah, il y a moyen de limiter les effets fureteurs des réseaux sociaux, déjà en ne les installant pas sur son téléphone.
Tu aurais fait partie de ces groupe FB d"érudits BD, tu aurais vu que Paul Gravett, enthousiaste comme toujours, a lié ton blog à propos des textes sur les mangas pirates de Hirata (j'en suis coupable, je l'ai redonné dans un de mes posts récents) accompagné de ma photo de la reliure éditeur de
Budo Magazine qui est au Fonds des imprimés de la CIBDI, mise sur le net dans mon reportage photographique annuel sur le FIBD d'Angoulême
Et quand Paul Gravett poste quelque chose, ça a plus d'échos que lorsque c'est moi, ha ha !
Ce qui est ballot, c'est que je n'avais pas encore vu ton article à l'époque où j'ai rencontré Hirata (à deux reprises) et que je n'ai donc pas pu lui poser la question s'il était au courant d'être le premier
mangaka traduit en français.