[PREVIEW] La Petite Lumière - Panaccione - Delcourt

[Tristar19]

LA PREVIEW :



Quand Daniel Pennac conseille la lecture de La Petite Lumière d'Antonio Moresco à Grégory Panaccione, il sait déjà que c'est l'un des rares artistes aptes à le traduire graphiquement... Encore fallait-il qu'il lui plaise.
« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant ». Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle.

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La Petite Lumière - D'après l’œuvre d'Antonio Moresco - 248 pages - Parution le 10/05/2023

« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant ». Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle.

[ubr84]

Ca a l'air intriguant, Panacionne sur un sujet qui a l'air loin d'être rigolo.

J'ai hâte

[drabag]

Je pose une balise !

[nexus4]

LA PREVIEW !!!



Quand Daniel Pennac conseille la lecture de La Petite Lumière d'Antonio Moresco à Grégory Panaccione, il sait déjà que c'est l'un des rares artistes aptes à le traduire graphiquement... Encore fallait-il qu'il lui plaise.
« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant ». Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle.

[Karzak]

La chronique de La petite lumière est disponible.

[Cooltrane]

loin de m'avoir passionné, ce bouquin à failli me tomber des mains, malgré d'évidente qualités

trop ite lu et pas été accroché par certaines ambiances, que d'autres trouveront p-ê exceptionnelles.

[Bolt]

Viens d'en terminer la lecture. Troisième adaptation d'affilée par Grégory Panaccione, un récit sur la solitude, la vie, la mort, la reconnexion avec l'enfant en soi, avec la nature... Dit comme ça, ça fait contemplatif, mais ce n'est pas vraiment dans le langage graphique de Panaccione, à savoir un style décompressé, multipliant les cases tout en mouvement, traversées par les paysages bucoliques déjà aperçus dans quelques une de ses BDs précédentes. Un bouquin dont la poésie repose sur l'implicite, empreint d'un réalisme merveilleux, et restant ouvert aux interprétations.