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La Nueve quand l'histoire d'oubliés se rappelle à nous.

Séries Franco-belge, "récentes" nouveautés "grand public".

La Nueve quand l'histoire d'oubliés se rappelle à nous.

Messagede bdmetrique.com » 01/08/2014 12:39

Saviez-vous que le 24 août 1944, les premiers soldats à entrer dans Paris la veille de sa libération n’étaient pas américains, ni français, ni britanniques, mais bien… espagnols? Cette histoire singulière nous est raconté par Paco Roca, l’un des artistes les plus réputés de la nouvelle vague de la bande dessinée espagnole. Histoire facinante et passionnante, c'est seulement dommage que l'on ai attendu si longtemps pour souligner cette contribution essentielle. Venez lire notre critique si le coeur vous en dit ;-)
http://bdmetrique.com/2014/08/01/la-nueve/
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Re: La Nueve quand l'histoire d'oubliés se rappelle à nous.

Messagede Olaf Le Bou » 25/08/2014 21:57

fêtons dignement les 70 ans de la libération de Paris avec la chronique de la rédaction :bravo:

http://www.bdgest.com/chronique-6267-BD ... Nueve.html
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux

En toutes choses, subordonner le désir de juger au devoir de comprendre.
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Re: La Nueve quand l'histoire d'oubliés se rappelle à nous.

Messagede Guy Georgou » 03/01/2015 14:39

la Nueve est une bd intéressante, son sujet est original, mais le dessin et la narration sont moyenne. Ce que je retiendrai c'est une histoire autre de la guerre, nourrie d'anecdotes d'anciens combattants, dont on n'a pas coutume, il me semble, que ce soit dans la BD ou pire encore, à travers le ciné US. Voilà donc un autre point de vue que l'imagerie Hollywoodienne habituelle gavante. Mais s'il est louable de ne pas faire dans le spectaculaire, l'auteur n'est pas vraiment à l'aise dans les combats, notamment, et on ne sait plus qui a tiré sur quel char et qui fait bien quoi, au détour des rues des villes en ruines. Et sauf exception le dessin ne rend jamais le mouvement. Les défaillances de la narration s'invitent aussi dans les conversations dans le présent. Les intentions ne sont pas toujours clair. Par ailleurs ces maladresses alternent avec des scènes réussies, comme l'intro et l'embarquement en Espagne des Républicains défaits. Au rayon critique il faudrait aussi citer la couleur qui n'est pas terrible non plus...
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