fleur a écrit:Faites le point sur la place des figures féminines (la seule qui est entière est maso!) ou des morceaux féminins (utilisés comme montures ou comme esclaves des machineries) sans compter les enfilages à la chaîne... Et puis le mode de reproduction dépersonnalisé, moi je ressens ça plus malsain que drôle.
Je comprends le point de vue.
Moi, comme je l'ai écrit plus haut, j'ai plutôt vu ces éléments comme faisant partie d'une critique plus globale et un peu potache des travers des sociétés humaines.
Après, peut-être ai-je projeté dans l'oeuvre des choses que je voulais y voir, je ne sais pas.
Ce truc me parait assez barré pour pouvoir se prêter à de multiples interprétations et comme en plus je ne suis pas familier des univers de l'auteur, je ne peux conjecturer qu'à partir de la lecture de ce seul album.
"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère."
Denis Johnson - "Arbre de fumée"