titopi a écrit:Une lecture très rafraichissante...
fleur a écrit:Pellejero, Lapière, une couv magnifique... j'achète sans renseignements supplémentaires!
Extrait diu site Dupuis:Mexico, août 1923. Le photographe américain Edward Weston vient d'abandonner femme et enfants pour rejoindre sa maîtresse Tina Modotti. Fille d'émigrés italiens, Tina a démarré une carrière d'actrice à Hollywood avant de se révéler photographe, dans le sillage d'Edward.
Au Mexique, les deux amants découvrent que révolution rime avec expression. Sur les murs des bâtiments publics explosent les peintures de Diego Rivera, de Xavier Guerrero et de tous ceux qui resteront dans l'histoire de l'art sous le nom de "muralistes".
En ces années 1920, charnières entre l'ancien monde, balayé par la première guerre mondiale, et le nouveau monde qu'il reste à construire, Tina et Edward s'engagent aux côtés des guérilleros de l'art. Dès lors, pour Tina, le sexe, la liberté, l'art et la politique s'avèrent indissociables de son mode de vie ; une quadrature du cercle difficile à résoudre pour Edward. Mais si la passion brûle les sens, la souffrance attise les feux de la création...
L'histoire était donc une surprise: Je suis complètement ignorante du contexte, époque, lieu, et je ne goûte pas particulièrement les envolées lyriques sur le rôle de l'Art avec un grand A dans l'Histoire avec un grand H. Mais là, c'est Lapière: on est obligé de le suivre là où son regard se pose, d'entendre ce qui n'est pas écrit, alors on se sent forcément humainement proche des gens, et c'est Pellejero, la lumière, les regards, les postures alors l'émotion passe... enfin, en tout cas pour moi.
Si j'ai tout de même entendu parler de périodes révolutionnaires au Mexique (Viva Zapata, tout ça ), j'aurais été bien en peine pour les dater, et je n'avais jamais entendu parler des "muralistes"
et évidemment j'ai envie dans savoir plus: ça me fait souvent ça avec les albums de Denis Lapière.
fleur a écrit:Si j'ai tout de même entendu parler de périodes révolutionnaires au Mexique (Viva Zapata, tout ça ), j'aurais été bien en peine pour les dater, et je n'avais jamais entendu parler des "muralistes"
et évidemment j'ai envie dans savoir plus: ça me fait souvent ça avec les albums de Denis Lapière.
rahoul a écrit:Dans mon souvenir, le dessin de Pellejero est sympa, sans plus, et l'histoire des émois de ces artistes capricieux & tourmentés ne m'a pas laissé une forte impression...
Ca peut plaire, mais je te conseille de feuilleter pour voir si tu accroches vraiment...
Retourner vers Bande Dessinée Franco-Belge - Contemporaines - XXIe siècle
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 3 invités