Jetjet a écrit:Hayange
alacoume a écrit:Ce surement intéressant, mais ce n'est pas pour moi. Je pense que toute cette misère sociale et intellectuelle m'énerveraient.
Le Tapir a écrit:Jetjet a écrit:Hayange
La partie sur Hayange est passionnante (peut-être la meilleure du bouquin)! Tout est expliqué, on comprends vraiment comment et pourquoi le FN s'implante là ou il s'implante! Bien que les problématiques locales entre le nord est et le sud est ne soit pas tout à fait les mêmes!
Jetjet a écrit:Le Tapir a écrit:Jetjet a écrit:Hayange
La partie sur Hayange est passionnante (peut-être la meilleure du bouquin)! Tout est expliqué, on comprends vraiment comment et pourquoi le FN s'implante là ou il s'implante! Bien que les problématiques locales entre le nord est et le sud est ne soit pas tout à fait les mêmes!
Pas besoin de lire ce très bel ouvrage pour bien comprendre de quoi tu parles. Hélas.
Le Tapir a écrit:Jetjet a écrit:Le Tapir a écrit:Jetjet a écrit:Hayange
La partie sur Hayange est passionnante (peut-être la meilleure du bouquin)! Tout est expliqué, on comprends vraiment comment et pourquoi le FN s'implante là ou il s'implante! Bien que les problématiques locales entre le nord est et le sud est ne soit pas tout à fait les mêmes!
Pas besoin de lire ce très bel ouvrage pour bien comprendre de quoi tu parles. Hélas.
Quand tu lis ce bouquin, tu comprends vraiment qu'il y a des zones entières et des pans entiers de la population qui ont été lâchement abandonnés par la République! L'Histoire avec Mittal et la sidérurgie lorraine, c'est un scandale politico-industriel de toute façon!
alacoume a écrit:C'est là où je voulais en venir et où l'on ne sera pas d'accord. C'est la différence entre le communisme et le libéralisme.
On vit dans une économie libéraliste : un état ne peut pas s'immiscer dans les décisions des entreprises. En l’occurrence, si Mittal veut se retirer de la Lorraine, c'est son choix.
Quant aux salariés, libre à aux de changer de métier et/ou de régions. Et c'est là où le livre va m'énerver, c'est dans la réaction de cette population qui attend d'un état une aide quelconque. C'est peut-être vrai dans le communisme (et on a vu que les états qui ont essayé se sont plantés), mais ce n'est pas vrai dans une économie de marché. Libre à eux d'en profiter ou de s'en exclure.
Le populisme auquel il adhère a en général plutôt entraîné des guerres...
alacoume a écrit:C'est là où je voulais en venir et où l'on ne sera pas d'accord. C'est la différence entre le communisme et le libéralisme.
On vit dans une économie libéraliste : un état ne peut pas s'immiscer dans les décisions des entreprises. En l’occurrence, si Mittal veut se retirer de la Lorraine, c'est son choix.
Quant aux salariés, libre à aux de changer de métier et/ou de régions. Et c'est là où le livre va m'énerver, c'est dans la réaction de cette population qui attend d'un état une aide quelconque. C'est peut-être vrai dans le communisme (et on a vu que les états qui ont essayé se sont plantés), mais ce n'est pas vrai dans une économie de marché. Libre à eux d'en profiter ou de s'en exclure.
Le populisme auquel il adhère a en général plutôt entraîné des guerres...
Le Tapir a écrit:alacoume a écrit:C'est là où je voulais en venir et où l'on ne sera pas d'accord. C'est la différence entre le communisme et le libéralisme.
On vit dans une économie libéraliste : un état ne peut pas s'immiscer dans les décisions des entreprises. En l’occurrence, si Mittal veut se retirer de la Lorraine, c'est son choix.
Quant aux salariés, libre à aux de changer de métier et/ou de régions. Et c'est là où le livre va m'énerver, c'est dans la réaction de cette population qui attend d'un état une aide quelconque. C'est peut-être vrai dans le communisme (et on a vu que les états qui ont essayé se sont plantés), mais ce n'est pas vrai dans une économie de marché. Libre à eux d'en profiter ou de s'en exclure.
Le populisme auquel il adhère a en général plutôt entraîné des guerres...
Tu ne peux pas demander et des gens implantés ,ouvriers et fis d'ouvrier de se déraciner comme ça, d'un coup de baguette magique! Les gens ne sont pas des objets!
alacoume a écrit:Le Tapir a écrit:alacoume a écrit:C'est là où je voulais en venir et où l'on ne sera pas d'accord. C'est la différence entre le communisme et le libéralisme.
On vit dans une économie libéraliste : un état ne peut pas s'immiscer dans les décisions des entreprises. En l’occurrence, si Mittal veut se retirer de la Lorraine, c'est son choix.
Quant aux salariés, libre à aux de changer de métier et/ou de régions. Et c'est là où le livre va m'énerver, c'est dans la réaction de cette population qui attend d'un état une aide quelconque. C'est peut-être vrai dans le communisme (et on a vu que les états qui ont essayé se sont plantés), mais ce n'est pas vrai dans une économie de marché. Libre à eux d'en profiter ou de s'en exclure.
Le populisme auquel il adhère a en général plutôt entraîné des guerres...
Tu ne peux pas demander et des gens implantés ,ouvriers et fis d'ouvrier de se déraciner comme ça, d'un coup de baguette magique! Les gens ne sont pas des objets!
Je ne parle pas de les déplacer (si la boîte s'en va, elle s'en va). Je voulais dire : si tu perds du boulot, tu en cherches sur place et ailleurs ? Qui n'a pas déménagé pour travailler ? On vit au XXI°s aujourd'hui ! Si des gens ont du mal à quitter leur village pour bosser, c'est super étonnant et flippant ! Dans ce cas, quel empathie peut-on avoir à leur encontre ?
Le Tapir a écrit:Une énorme empathie justement!
alacoume a écrit:Le Tapir a écrit:Une énorme empathie justement!
Ben, pas moi. La vie est difficile, on a tous fait des sacrifices. Pour ma part, j'ai du déménager peut-être 6 fois, travailler parfois dans une ville différente de celle de ma femme et de mes enfants... J'ai déjà repassé 2 diplômes après la fac et me suis reconverti une fois.
Alors, non, je ne compatis pas pour des gens qui veulent rester dans leur village travailler ou qui sont paniquées à l'idée de quitter leur usine. Des usines, il y en a des millions, tout comme des emplois différents. Même si je comprends. Ils ont peur.
Le Tapir a écrit:Perso je trouve que les français de toutes conditions ont le droit ( et même le devoir) de revendiquer de pouvoir vivre et travailler dans leurs régions s'ils le souhaitent!
alacoume a écrit:On vit en Europe dans une économie mondialisé.
Mes enfants apprennent l'anglais, voyagent et je ne les élève pas dans l'idée de travailler dans la ville où ils sont né. Ni même dans la pays où ils sont nés.
Ton raisonnement était peut être valable il y a un siècle, mais c'est fini. Aujourd'hui, la mobilité est la clef de la réussite.
D'ailleurs, dans le cadre de son boulot, qui n'a pas été à Francfort, Rome, Londres, Madrid ou ailleurs ?
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