Cet album devrait avoir tout pour me plaire.
On voit que l'auteur s'est replongé dans le premier Broussaille (mon album préféré) avant de se lancer dans ce nouveau récit.
Les références pleuvent dès la couverture : la baleine, l'ambiance sous-marine, le rêve, le début dans l'appartement, le chat, la librairie, etc.
Je devrais normalement me retrouver comme un poisson dans l'eau, dans ma propre jeunesse, baignée de cette atmosphère magique.
Mais non, le charme n'opère pas du tout, le dessin de Drommelschlager a changé depuis ses albums de Kaël (et les albums suivants), en tout cas il prend ici une tout autre forme : c'est plus rond, plus enfantin, ça ne me plaît pas trop, et l'encrage des personnages, des décors, même le lettrage, j'ai du mal. On dirait du Léo Beker (Louison Cresson)
A voir si la lecture (le fond) contredit cette première impression négative (sur la forme)
Jolan, le gars qui n'a le droit de ne rien dire, sinon ses posts sont supprimés illico par Nexus.