L'humain - Varela & Agrimbau - Dargaud

[silverfab]

Message précédent :
Ah bon?
Au contraire j'ai trouvé ça certes peut être un peu"attendu" (et encore mais ça donne un coté tragique (et finalement réaliste!) à un scénario qui commençait foutraque en allant dans pas mal de directions.

Et puis Varela s'en donne à coeur joie, et je le préfère largement sur ce genre de choses que sur son précédent album paru chez nous.

Non, perso, une bonne surprise de cette rentrée que cet Humain là!

[grimmy]

C'est quand même ultra classique. Bon dessin mais encore une fois (enfin ,trop souvent) un scénario vu et revu. Alors qu'avec la SF on devrait pouvoir se lacher complétement ! Hé ben non.

[Nirm]

En fait, après relecture je trouve que le début très bon

[Révéler] Spoiler:

choisir le point vu de alpha, la tension lié à ce qu'il est arrivé à June et son équipage, l'origine des singes et s'ils sont amis ou ennemis

puis ça retombe dans le classique et je rejoins grimmy.
Les promesses du départ tombent un peu à plat.
Reste le dessin de Varela, intéressant de bout en bout.

[Papy Boingtone]

En fait, après relecture je trouve que le début très bon

[Révéler] Spoiler:

choisir le point vu de alpha, la tension lié à ce qu'il est arrivé à June et son équipage, l'origine des singes et s'ils sont amis ou ennemis

puis ça retombe dans le classique et je rejoins grimmy.
Les promesses du départ tombent un peu à plat.
Reste le dessin de Varela, intéressant de bout en bout.

Et moi tu ne me rejoins pas ??? Car je disais la même chose plus haut...
Mais c'est exactement ça, tout retombe à l'entame de la seconde partie... Dommage car c'était plutôt prometteur et les dessins sont vraiment bons !

[Nirm]

Donne moi ton adresse !

[Papy Boingtone]

Donne moi ton adresse !

[onehmouninehl]

BD fort sympathique, ma foi... Mais j'ai l'impression que seule la seconde partie donne son titre à l'ouvrage (le comportement de Robert est tout ce qu'il y a d'humain, hélas).
Une petite erreur biologique, par contre

[Révéler] Spoiler:

(l'évolution ne repasse pas les plats, donc pas de queue pour les descendants des humains. D'où le "Quand les poules auront des dents", car vu qu'elles en on déjà eu, elles ne pourront en re-avoir.)

[Telenkoo]

Les premiers retours semblent plutôt mitigés, mais le dessin me fait vraiment de l'oeil
Il faut que je me penche sur cet ouvrage lors de mon prochaine passage en librairie!

[chris24]

C'est quand même pas mal j'ai trouvé. Ça se lit très bien et on enchaine les 130 pages d'une traite.
Une bonne BD de SF qui s'appuie sur pas mal de questions de fonds l'air de rien, tout en restant en fait très distrayante.
Certes pas une œuvre majeure ou inoubliable mais j'ai passé un bon moment de lecture.

[toine74]

La chronique de L'humain est en ligne !

[Pouffy]

Je n'ai pas aimé non plus. L'histoire accumule les poncifs et est assez déséquilibrée (avec des choix discutables). Il n'y a aucune empathie envers les personnages (un peu pour alpha et encore).

Graphiquement je trouve ça assez moyen, surtout le choix des couleurs.

Après ça se lit bien, il n'y a pas de problème de narration, c'est fluide... mais bon, il y a beaucoup mieux dans le genre.

[Telenkoo]

J'ai bien aimé la première partie, le postulat et l'intrigue qui en découle.
La deuxième partie rentre un peu dans le rang, plus classique.
Le dessin est par contre excellent du début à la fin.
Dans l'ensemble, cela reste une BD sympathique à lire.

[bone]

Je rejoins plus l'avis du chroniqueur.

L'idée de départ est bonne (la première partie)
La seconde partie de l'histoire m'a déçu

Ce n'est pas la qualité du dessin toujours égal, peut être le choix des couleurs

Je n'ai pas aimé la conclusion

[Thierry_2]

dégotté par hasard à la fête de la BD, j'ai été plutôt agréablement surpris par cette curiosité. Chaque récit illustre une névrose en prenant pleinement avantage des capacités de la bande dessinée. Par exemple, la claustrophobie est relatée du point de vue d'un personnage qui a pleinement conscience de personnage prisonnier des cases et tente de s'en échapper. La synesthésie repose sur les pouvoirs d'une enquêtrice qui peut voir les onomatopées qui flottent dans les planches. Il est évident que ce genre de procédé ne peut que fonctionner que sur des récits courts, d'où le choix du format par les auteurs.