noiretblanc a écrit:Mon préfèré : Astérix et les Normands.
Le moins bien, et de derniers que j'ai Lu depuis, celui où il y a une espèce de Goldorak....
Cabarezalonzo a écrit:Mon préféré, c'est l'un de ces quinze opus, ex-aequo ou quasiment :
- Légionnaire, Bouclier arverne, Chaudron, Hispanie, Helvètes, Zizanie, Corse, Gladiateur, Tour de Gaule, Cléopâtre, Lauriers de César, Domaine des Dieux, Combat des chefs, Bretons, Devin.
Détesté : L'album anniversaire qui fait, hélas, partie de la série. Et juste derrière, ex-aequo, Le Ciel et Latraviata. Suivis des Pictes.
Le Tour de Gaule, encore un où il est également question de bouffe... C'est celui où les deux complices doivent rapporter au village pour narguer les Romains une spécialité régionale de chacune de leurs étapes ?amzounslide95 a écrit:Chez les Helvètes, j'ai envie de fromage à chaque fois que je le lis :rire:
Lui et le Tour de Gaule restent les meilleurs
Cabarezalonzo a écrit:Le Tour de Gaule, encore un où il est également question de bouffe... C'est celui où les deux complices doivent rapporter au village pour narguer les Romains une spécialité régionale de chacune de leurs étapes ?amzounslide95 a écrit:Chez les Helvètes, j'ai envie de fromage à chaque fois que je le lis :rire:
Lui et le Tour de Gaule restent les meilleurs
Je vois que tu associes Astérix à la gastronomie. Et ces sangliers, quel festin de roi !
Pour ma part, Astérix en Corse me fait également bien saliver. Friand des figatelli et autres charcutailles de l'Ile de beauté ainsi que du fameux brocciu, quand il est bien affiné au point de pouvoir faire exploser une soute à la première flamme en contact avec le fumet.
Lors de mon premier séjour en Corse en bécane, j'en trimballais deux dans un sac à dos, un pour déguster chaque jour, et un autre pour le ramener sur le continent. Les deux beaux frometons dégageaient un arôme qu'on bon odorat pouvait détecter à des lieues à la ronde. Mes amis, qui campaient avec moi, se tenaient à distance de mon sac. En revanche, une truie avec ses porcelets en liberté sur les chemins sont venus fourrer leur groin dans mon sac à dos lors d'un pique-nique sur le bord de la route et il a fallu que je leur abandonne quelques victuailles, à ces bestiaux en vadrouille. Pour prendre ensuite la fuite en bécane, sinon tout le sac serait passé dans l'estomac de ces onguligrades autonomistes difficiles à rassasier.
Retourner vers Généralités sur la Bande Dessinée
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités