corbulon a écrit:Après j'aimerais bien savoir qui sont ces petits éditeurs qui se contentent de traduire les auteurs étrangers déjà reconnus...
Tout pareil... Cela étant écrit, suite à ma lecture de
Kinderland, je viens de relire mes vieux Mawil et si c'est assez inégal, c'est surtout en constante amélioration. Si
Welcome home, virée hippie fatigante par ses poncifs et ses réalités, et
Safari plage, très vide de quoi que ce soit, sont assez laborieux, il propose avec
On peut toujours rester amis quelque chose de bien plus sympa, tout est dans le titre. Puis il y a eu
The band, épopée rock d'un groupe de lycéens, qui est, lui, assez bon dans son genre, les poncifs et réalités de l'exercice sont autrement mieux données à vivre que chez les hippies. Cet album plaira à ceux qui ont lamentablement pratiqué l'exercice du groupe de rock dans leur primesautière jeunesse... En relisant tous ces albums, j'ai perçu une technique narrative qui s'affine et, avec
Kinderland, l'introduction d'un angle de vue plus ouvert. C'est un auteur qui pourrait nous offrir quelques bons albums dans les années à venir. En passant, je serais intéressé de savoir s'il a publié en Allemagne des albums entre
The band et
Kinderland... si quelqu'un à la réponse à cette question ?