Message précédent : Ce premier gros lâcher en 1985 confirme ce que Claudine, la première femme de Giraud, a toujours raconté. À cette époque la famille était installée en Californie. Claudine un peu désœuvré a eu l’idée avec Jean de commencer à participer à des conventions US. Leur plan pour conquérir ce marché était l’édition de belles sérigraphies (les fameuses Starwatchers) et l’expo/vente d’originaux. Sauf que Jean qui se fichait totalement de ses originaux, n’avait jamais pris la peine de les récupérer chez les éditeurs. C’est donc Claudine qui a été dépêchée à Paris pour faire la tournée et récupérer un maximum d’originaux, puis de rapatrier tout ça dans une grande malle vers les USA. À partir de ce moment, Claudine et Jean n’ont jamais cessé de vendre.
Nouveau sur vos écrans, la préversion de la page 3 de L'incal T.4. Je vous ai mis la comparaison en dessous. Le choix de redessiner était le bon. Déjà parceque l'aspect réaliste de l'hôte aurait carrément changé la dramaturgie de la scène (et peut-être même l'orientation générale de toute la suite) en retirant tout l'aspect comique. Et en plus, on voit carrément Gir percer sous Moebius. Les deux perso sont hors sujet. Pour finir, en grand on voit que l'encrage est vraiment crado.
Pas le meilleur album de la série, dans tous les cas.
Merci quand même
« [...] Il mio sogno è nutrito d’abbandono, di rimpianto. Non amo che le rose che non colsi. Non amo che le cose che potevano essere e non sono state [...] ».