Je me souviens...

de **bdpendant** » 04/08/2018 16:21

Message précédent :
du coup ils diffusent toujours Hibernatus ?

de **Le Complot** » 04/08/2018 16:38

bdpendant a écrit:du coup ils diffusent toujours Hibernatus ?

Je crois pas..

de **Morti** » 04/08/2018 16:41

nexus4 a écrit:Je me souviens que j'allais au cinéma de quartier avec ma grande soeur tous les week-end tout en bas de la rue Lévis, à Paris. Un film différent toutes les semaines, pas du grand cinéma. Notamment un qui m'a marqué durablement, un savant fou qui échangeait les esprits avec un gorille. C'était la fin des cinémas de quartier, l'époque des salles fumeurs, où l'on pouvait rester toute l'après midi à voir le même film, ça s'appelait une séance continue. Si on était arrivé en retard, on restait voir le début puis on choisissait de renquiller ou de partir. Il y avait des ouvreuses aussi, avec la lampe torche et la jupe bleu pervenche, le rayon lumineux un peu étouffé qui faisait le va et vient entre leurs pieds et les nôtres pour qu'on ne loupe pas une marche. "A coté du monsieur au chapeau, la-bas", chuchotait-elle, couvrant à peine les voix des acteurs.

Je viens de regarder sur Google Street, maintenant c'est un Surgelés Picard.

Ton film, c'était pas l'Homme aux deux cerveaux de Carl Reiner avec Steve Martin ("I can't fuck a gorilla !").

de **monsieur burp** » 04/08/2018 19:01

Je me souviens plus ou j'ai mis mes chaussons...

de **nexus4** » 04/08/2018 19:38

Morti a écrit:
nexus4 a écrit:Je me souviens que j'allais au cinéma de quartier avec ma grande soeur tous les week-end tout en bas de la rue Lévis, à Paris. Un film différent toutes les semaines, pas du grand cinéma. Notamment un qui m'a marqué durablement, un savant fou qui échangeait les esprits avec un gorille. C'était la fin des cinémas de quartier, l'époque des salles fumeurs, où l'on pouvait rester toute l'après midi à voir le même film, ça s'appelait une séance continue. Si on était arrivé en retard, on restait voir le début puis on choisissait de renquiller ou de partir. Il y avait des ouvreuses aussi, avec la lampe torche et la jupe bleu pervenche, le rayon lumineux un peu étouffé qui faisait le va et vient entre leurs pieds et les nôtres pour qu'on ne loupe pas une marche. "A coté du monsieur au chapeau, la-bas", chuchotait-elle, couvrant à peine les voix des acteurs.

Je viens de regarder sur Google Street, maintenant c'est un Surgelés Picard.

Ton film, c'était pas l'Homme aux deux cerveaux de Carl Reiner avec Steve Martin ("I can't fuck a gorilla !").

Nope, je pense que c'était du N&B années 50-60.
Il me semble en avoir déjà causé et Akilèos m'avait filé un lien mais j'ai pas pu le regarder.