désolé pour le silence. Je n'étais pas à la maison. Si je pouvais lire, je ne pouvais répondre.
je vais répondre en spoiler, ce sera plus simple.
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4 chapitres, chacun traitant d'un thème particulier.
1. Mise en place + Les voisins qui entendent crier.
2. Le non départ
3. L'ami qui ne dit rien ou juste un peu, comme les voisins, histoire de....
3bis. Viol? Meurtre
4. Le final.
s'il y a bien 4 grandes séquences, je ne les vois pas comme toi.
1- [12 pages] l'exposition de la situation
2- [22 pages] la journée sans le mari
3- [50 pages] ce qui amène à la violence conjugale et permet que cette violence perdure... jusqu'au pire
4- le point de vu
Je n'ai pas trop aimé cette façon de faire, à chaque chapitre son thème particulier, ça ne laisse pas trop la place pour approfondir les choses.
-> une nouvelle fois, je ne vois pas les choses comme ça.
Tu le vois comme une description d'un etat... moi, je le vois comme une boucle de temps.
On commence le soir... on fait une journée... on finit le soir... et un morceau du matin.
La violence conjugale répond à une sorte de métronome. Il y a plus de violence la nuit que dans la journée.
Pourquoi ?
Je te laisse trouver la réponse.
Et à ce titre, je n'ai pas trouvé l'histoire personnel, on y raconte l'histoire d'une femme battue comme tant d'autres, mais pas celle de la mère à Ines. Personnellement j'aurais aimé découvrir un peu plus le quotidien de la mère, savoir comment elle vit les coups dans la durée, savoir pourquoi le père est violent, depuis quand ect ect.
-> Malheureusement, je crois qu'il n'est pas obligatoire de tenter d'explorer une autre journée. La violence conjugale répond à des systématiques. Cette journée sera quasi la même que celle demain... etc...
pour l'histoire personnelle... tu as raison.. ce n'est pas mon histoire.
par contre, je vois que tu dois être fan de zeimour "une femme battue comme tant d'autres".
toi, tu as cherché des réponses... moi, j'ai cherché à poser des questions.
si des réponses peuvent être similaires, je pense que ce n'est pas toujours le cas.
La violence conjugale n'est pas un virus... pas une maladie.
j'apprécie beaucoup ton poste car tu fais exactement ce que j'avais envie.. que l'on parle de ce problème... merci !
De plus les thèmes abordées sont toujours ceux dont on entend parler lorsque l'on parle de violence conjugale (silence des proches, l'impossibilité de partir, la soumission) J'aurais préféré voir comme dit plus haut, le quotidien, le pourquoi, le comment....
tu viens de le redire plus clairement... tu attendais des réponses... alors que nous ne posons que des questions. Si tu veux aller plus loin, en dramaturgie, il y a 4 façon de construire une histoire.
Celle qui raconte et répond aux question.. dramatrugie complète. Celle qu'aime Hollywood
Celle qui raconte et qui n'apporte pas toutes les réponses... dramaturgie mini. Celle qu'aime le ciné indé.
Celle qui casse les codes. l'anti-dramaturgie. Celle des monty python
et celle qui ne raconte pas ou rien... la non dramaturgie.
Moi, je préfère Lynch, Wenders... à Stallone et Avildsen (rocky) ou Spielger.
Je ne dis pas que l'un est meilleur que l'autre... je dis que mon choix va vers des questions et pas des réponses.
Un sujet rare, mais qui de mon point de vu est mal exploité.
une nouvelle fois, je ne suis pas d'accord... c'ets un point vu qui ne correspond pas à ton attente... différent.
Tu ne dis à aucun moment que l'histoire est mal raconté... tu dis que l'histoire n'est pas comme tu aimerais...
moi, j'aime ta position car tu permets de discuter de la création et de la question de la violence.
alors merci !
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ne pas prendre comme une agression, ce n'en est pas une
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Note pour plus tard : ne plus lire des bd aussi marquées émotionnellement dans le métro... la prochaine fois ce sera manga 
mais je pense que ce n'est absolument pas grave. Moi même, dans les interviews, je me fais surprendre à le révéler.
HLM encore j'aurais compris 
