Fourmies la Rouge - Alex W. Inker - Sarbacane

[Karzak]

LA PREVIEW :



Le 1er mai 1891, malgré les interdictions patronales, les ouvriers grévistes ont décidé de défiler dans la cité textile de Fourmies (Nord), pour réclamer la journée de huit heures. La veille, affolés, les industriels des filatures ont sommé le maire de la ville, Auguste Bernier – lui-même directeur d’une usine – d’exiger du préfet l’envoi de la troupe.

Deux régiments d’infanterie de ligne, les 84e et 145e, cantonnés tout près à Avesnes-sur-Helpe et à Maubeuge, se mettent en position sur la place centrale de Fourmies, bordée par l’église, la mairie et la maison d’arrêt.
En fin de journée, une foule revendicative déboule sur la place, un officier ordonne aux soldats de tirer… Neuf personnes meurent. Elles deviendront les martyrs de la cause socialiste naissante.

En virtuose, Alex W. Inker, entraîne le lecteur au plus près des personnages, le plongeant en apnée au coeur des événements aux côtés de :

Maria, la jeune et belle ouvrière aux cheveux de feu,
Kléber, le jeune porte-drapeau amoureux de Louise,
Louise, l’ouvrière gouailleuse,
Émile, le gamin innocent pêcheur de grenouilles, Gavroche bravache et frondeur,
Un soldat, l’idéaliste qui ne tirera pas et n’épaulera même pas son fusil Lebel,
Un vieux soldat, le salaud qui achèvera les blessés à la baïonnette.

---

Vu sur Facebook :

Fourmies la Rouge arrive ! Encore quelques semaines d'attente et je vous rappellerai qu'il y a 130 ans capitalisme et maintien de l'ordre faisaient déjà bon ménage !

Nouveau bouquin signé Alex W. Inker à venir donc.
De toute évidence (vu le titre et le petit commentaire) ça devrait causer du vendredi rouge de Fourmies (jolie petite ville dans le sud du Nord, soit dit en passant), journée de grève des travailleurs des usines textiles - à l'initiative des guesdistes notamment - qui avait été réprimée dans le sang, le 1er mai 1891.

Ca s'annonce très intéressant ! Sortie au printemps, a priori.

Pour ceux qui n'auraient jamais entendu parler de cet évènement : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Fourmies

(je mets arbitrairement ça dans "gros pavés" parce que ça m'étonnerait que ça fasse 46 pages le machin )

[euh... si vous le dites]

Vu sur Facebook :

Fourmies la Rouge arrive ! Encore quelques semaines d'attente et je vous rappellerai qu'il y a 130 ans capitalisme et maintien de l'ordre faisaient déjà bon ménage !

Nouveau bouquin signé Alex W. Inker à venir donc.
De toute évidence (vu le titre et le petit commentaire) ça devrait causer du vendredi rouge de Fourmies (jolie petite ville dans le sud du Nord, soit dit en passant), journée de grève des travailleurs des usines textiles - à l'initiative des guesdistes notamment - qui avait été réprimée dans le sang, le 1er mai 1891.

Ca s'annonce très intéressant ! Sortie au printemps, a priori.

Pour ceux qui n'auraient jamais entendu parler de cet évènement : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Fourmies

(je mets arbitrairement ça dans "gros pavés" parce que ça m'étonnerait que ça fasse 46 pages le machin )

Intéressant.
Je note ça dans un petit coin de mon cerveau.

Euh sinon, Fourmies jolie petite ville, je ne dirais pas vraiment ça...

[Karzak]

Cest mon amour de la petite reine qui parle.

[Tristar19]

Yes merci pour l'info ! sur les sites marchands : 05/05/2021 chez Sarbacane pour 19.50€

[Nirm]

Le 1er mai 1891, malgré les interdictions patronales,les ouvriers grévistes ont décidé de défiler dans la cité textile de Fourmies (Nord), pour réclamer la journée de huit heures. La veille, affolés, les industriels des filatures ont sommé le maire de la ville, Auguste Bernier (lui-même directeur d’une usine) d’exiger du préfet l’envoi de la troupe. Deux régiments d’infanterie de ligne, les 84e et 145e, cantonnés tout près à Avesnes-sur-Helpe et à Maubeuge, se mettent en position sur la place centrale de Fourmies, bordée par l’église, la mairie et la maison d’arrêt. En fin de journée, une foule revendicative déboule sur la place, un officier ordonne aux soldats de tirer... Neuf personnes meurent. Elles deviendront les martyrs de la cause socialiste naissante.

[Tristar19]

la couv'

[bone]

@Kazak, maintenant, il faudrait peut être retirer le point d'interrogation dans le titre du sujet, non ?

[nexus4]

La fiche album :

[nexus4]

Allez, exclu lulu, la preview !



Le 1er mai 1891, malgré les interdictions patronales, les ouvriers grévistes ont décidé de défiler dans la cité textile de Fourmies (Nord), pour réclamer la journée de huit heures. La veille, affolés, les industriels des filatures ont sommé le maire de la ville, Auguste Bernier – lui-même directeur d’une usine – d’exiger du préfet l’envoi de la troupe.

Deux régiments d’infanterie de ligne, les 84e et 145e, cantonnés tout près à Avesnes-sur-Helpe et à Maubeuge, se mettent en position sur la place centrale de Fourmies, bordée par l’église, la mairie et la maison d’arrêt.
En fin de journée, une foule revendicative déboule sur la place, un officier ordonne aux soldats de tirer… Neuf personnes meurent. Elles deviendront les martyrs de la cause socialiste naissante.

En virtuose, Alex W. Inker, entraîne le lecteur au plus près des personnages, le plongeant en apnée au coeur des événements aux côtés de :

Maria, la jeune et belle ouvrière aux cheveux de feu,
Kléber, le jeune porte-drapeau amoureux de Louise,
Louise, l’ouvrière gouailleuse,
Émile, le gamin innocent pêcheur de grenouilles, Gavroche bravache et frondeur,
Un soldat, l’idéaliste qui ne tirera pas et n’épaulera même pas son fusil Lebel,
Un vieux soldat, le salaud qui achèvera les blessés à la baïonnette.

[La Galerie de la BD]

Bonjour à tous,

la galerie Comic Art Factory vous propose une exposition-vente virtuelle des originaux de Alex W. Inker pour "Fourmies la Rouge".
Découvrez ci-dessous le teaser video.

Mise en vente le 14 mai à 9h sur https://www.comicartfactory.com

[2fois2cinq]

cet auteur enchaîne !

ils en ont parlé sur France Inter avec une petite interview d'Inker

[danielsansespace]

J’ai découvert la preview et adoré l’utilisation du rouge. Ça m’a tout de suite donné envie d’en avoir une planche, direction le site de la galerie pour mettre mon point rouge.... mais je suis un peu déçu en découvrant qu’on n’y retrouve pas le même système de rouge, même s’il y a des rehauts pour l’occasion de l’expo. En tout cas je vais acheter le livre, c’est un régal de voir la façon dont le rouge est mis, case après case.

[Karzak]

Finalement un peu mitigé sur ce titre.
C'est assez immersif, le dessin et l'utilisation du rouge donne un réel impact à l'ensemble, ça c'est clair.

Mais en même temps, ce se lit très vite je trouve et ça n'explore pas autant que je l'espérais tout le contexte social et politique autour de l'évènement, ni ses suites. Ca en fait un beau bouquin pour ne "pas oublier" ce drame, mais pas vraiment pour en découvrir davantage. J'en attendais peut-être trop.

[Grobool]

Bien chouette mais moins prenant au tripe que "Un travail comme un Autre".

[Glada]

LA PREVIEW :



Le 1er mai 1891, malgré les interdictions patronales, les ouvriers grévistes ont décidé de défiler dans la cité textile de Fourmies (Nord), pour réclamer la journée de huit heures. La veille, affolés, les industriels des filatures ont sommé le maire de la ville, Auguste Bernier – lui-même directeur d’une usine – d’exiger du préfet l’envoi de la troupe.

Deux régiments d’infanterie de ligne, les 84e et 145e, cantonnés tout près à Avesnes-sur-Helpe et à Maubeuge, se mettent en position sur la place centrale de Fourmies, bordée par l’église, la mairie et la maison d’arrêt.
En fin de journée, une foule revendicative déboule sur la place, un officier ordonne aux soldats de tirer… Neuf personnes meurent. Elles deviendront les martyrs de la cause socialiste naissante.

En virtuose, Alex W. Inker, entraîne le lecteur au plus près des personnages, le plongeant en apnée au coeur des événements aux côtés de :

Maria, la jeune et belle ouvrière aux cheveux de feu,
Kléber, le jeune porte-drapeau amoureux de Louise,
Louise, l’ouvrière gouailleuse,
Émile, le gamin innocent pêcheur de grenouilles, Gavroche bravache et frondeur,
Un soldat, l’idéaliste qui ne tirera pas et n’épaulera même pas son fusil Lebel,
Un vieux soldat, le salaud qui achèvera les blessés à la baïonnette.

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Vu sur Facebook :

Fourmies la Rouge arrive ! Encore quelques semaines d'attente et je vous rappellerai qu'il y a 130 ans capitalisme et maintien de l'ordre faisaient déjà bon ménage !

Nouveau bouquin signé Alex W. Inker à venir donc.
De toute évidence (vu le titre et le petit commentaire) ça devrait causer du vendredi rouge de Fourmies (jolie petite ville dans le sud du Nord, soit dit en passant), journée de grève des travailleurs des usines textiles - à l'initiative des guesdistes notamment - qui avait été réprimée dans le sang, le 1er mai 1891.

Ca s'annonce très intéressant ! Sortie au printemps, a priori.

Pour ceux qui n'auraient jamais entendu parler de cet évènement : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Fourmieshttps://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Fourmies[/url]

(je mets arbitrairement ça dans "gros pavés" parce que ça m'étonnerait que ça fasse 46 pages le machin )

C'est parfait, pile poil dans la thématique que je recherchais pour offrir à mon père. Est ce que quelqu'un a acheté la BD, est-elle vraiment bien?

Merci !

[nexus4]

Il y a parfois un petit rien qui donne toute son ampleur à une œuvre. Outre la mécanique implacable qui mène inévitablement au drame, Maria et son mai est une trouvaille géniale. Rien que l'expression, "Mon mai", qu'elle répète plusieurs fois, donne une fragilité, une simplicité et une douceur dans le récit. Une naïveté pure, sincère, qui met en perspective le dénouement atroce d'un jour heureux.

Je me demande si juste pour ce petit rien, scénaristiquement, je ne préfère pas Fourmies à Un travail comme un autre.