pourquoi ? c'est en Italie Sochaux ?

mistercoyote a écrit:Je ne digère pas ce deuxième jaune (je parle de carton pas de ce qu'on buvait hier soir)![]()
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Giuseppe a écrit:Mais ça intéresse qui ?![]()
C était ça le postulat de départ de ne pas parler de la Lazio
loopingatr a écrit:Giuseppe a écrit:Mais ça intéresse qui ?![]()
C était ça le postulat de départ de ne pas parler de la Lazio
moi ça m'intéresse la Lazio... surtout quand elle est éliminée, et en plus par un "petit" club
Anathème a écrit:C'est surtout que Lazio rime avec facho à certains égards, voire à des égards certains. Il y a des cons partout, évidemment, mais c'est quand-même compliqué d'éprouver aujourd'hui de la sympathie pour ce club en tant que spectateur neutre.
bdmaniak a écrit:Bon ça sera une rouste à l'Emirates!1-2
Real Madrid - Arsenal : 1-2 (0-3)
But pour Real Madrid : Vinícius Júnior (67')
Buts pour Arsenal : Saka (65'), Martinelli (90'+3)2-2
Inter Milan - Bayern Munich : 2-2 (2-1)
Buts pour Inter Milan : Martínez (58'), Pavard (61')
Buts pour Bayern Munich : Kane (52'), Dier (76')
1/2 finale
Arsenal - Paris-SG
FC Barcelone - Inter Milan
Michel Platini en 1981 (26 ans le 21 juin)
A l’automne 1981, Michel Platini entame sa troisième et dernière saison à Saint-Etienne, où il vient de gagner le championnat de France, trois ans après la Coupe de France conquise avec Nancy. Mais son intégration est laborieuse dans un club qui a longtemps privilégié la formation et où le virage bling-bling pris en 1978 reste en travers de la gorge des supporters. Ces derniers espéraient bien retrouver la C1 en septembre, mais les Verts ont joué de malchance en tirant le Dynamo Berlin en tour préliminaire au mois d’août, et en le perdant (1-1, 0-2). En championnat, il a marqué 7 buts lors des 16 premières journées et les Verts pointent en tête devant Bordeaux.
Mais en équipe de France, cette année 1981 est particulièrement sombre. Battu en amical en février contre l’Espagne en amical (0-1), il est forfait sur blessure en mars pour le déplacement aux Pays-Bas, qualificatif pour la Coupe du monde (0-1). Et encore fin avril, pour recevoir la Belgique, avec victoire obligatoire (3-2). Et toujours en mai, en amical face au Brésil (1-3). Trois matchs consécutifs sans le capitaine, ça vous rappelle quelque chose ?
Mais quand il revient le 18 août, pour un match amical et non officiel contre le VfB Stuttgart, c’est un désastre : les Bleus se font hacher menu (1-3) et Platini sort sous les sifflets à la 62e minute. Après le match, Hidalgo prévient : « Michel Platini a manqué son match. Il est certain que s’il ne retrouve pas rapidement les énormes moyens qui sont les siens, l’équipe de France devra se passer de lui. » Tel quel.
Les Bleus ne se passent quand même pas de leur meilleur joueur, mais en position d’avant-centre contre la Belgique, il ne peut empêcher la défaite (0-2), tout comme en octobre à Dublin (2-3). Il faut donc absolument battre les Pays-Bas en novembre pour se qualifier pour la Coupe du monde 1982… A cet instant de sa carrière, Platini compte 31 sélections et 18 buts en Bleu, dont il est le capitaine depuis l’été 1979.
La suite fait partie de la légende : victoire sur les Néerlandais (2-0) grâce notamment à un coup franc de Platini, puis demi-finale mondiale en Espagne contre la RFA, et deux ans plus tard victoire à l’Euro, puis nouvelle demi-finale mondiale en 1986. Entre temps, Platini a signé à la Juventus, où il remportera une Coupe des Champions (1985) et une Coupe des Coupes (1986) et raflera trois Ballons d’or consécutifs (1983, 1984 et 1985), faisant de lui le meilleur joueur du monde avec l’Argentin Diego Maradona.
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