Olaf Le Bou a écrit:(en fait, vu qu'il vivait à Paris et que toute l'affaire c'est passé en France, la belgitude du bonhomme n'a pas grand impact sur sa notoriété de part et d'autre de Quiévrain, d'ailleurs j'ignorais qu'il fut belge)
(et puis je ne suis pas nordiste, en tous cas je ne l'étais pas à l'époque)
Cooltrane a écrit:J'étais pas sur que ce genre d"évànement aie dépassé lers frontiers belges, surtout que l'affaire date des 80's.
Olaf Le Bou a écrit:même pour les plus jeunes qui n'étaient pas nés à l'époque, le personnage est évoqué dans un sketch de Desproges, et ne pas connaitre Desproges, c'est indéfendable
Cooltrane a écrit:Je ne savais pas... car j'étais en Ontario durant les 80's.
Olaf Le Bou a écrit:même pour les plus jeunes qui n'étaient pas nés à l'époque, le personnage est évoqué dans un sketch de Desproges, et ne pas connaitre Desproges, c'est indéfendable
Baba2016 a écrit:Je trouve que ça vieillit mal Desproges. C'est trop ancré dans son époque, aujourd'hui ça ne parle plus.
pabelbaba a écrit:Le Joker peut plier ses gaules.
Raven2b a écrit:Baba2016 a écrit:Je trouve que ça vieillit mal Desproges. C'est trop ancré dans son époque, aujourd'hui ça ne parle plus.
J'ai la chance d'avoir "les Réquisitoires" du Tribunal des flagrants délires en coffret CD ! Les réécouter est un bonheur et n'a jamais été autant d'actualité malgré les 35 ans qui nous séparent avec certains invités !
S’il est vrai que l’humour est la politesse du désespoir, s’il est vrai que le rire, sacrilège blasphématoire que les bigots de toutes les chapelles taxent de vulgarité et de mauvais goût, s’il est vrai que ce rire-là peut parfois désacraliser la bêtise, exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles, alors oui, on peut rire de tout, on doit rire de tout. De la guerre, de la misère et de la mort. Au reste, est-ce qu’elle se gêne, elle, la mort, pour se rire de nous ? Est-ce qu’elle ne pratique pas l’humour noir, elle, la mort ? Regardons s’agiter ces malheureux dans les usines, regardons gigoter ces hommes puissants boursouflés de leur importance, qui vivent à cent à l’heure. Ils se battent, ils courent, ils caracolent derrière leur vie, et tout d’un coup ça s’arrête, sans plus de raison que ça n’avait commencé, et le militant de base, le pompeux P.D.G., la princesse d’opérette, l’enfant qui jouait à la marelle dans les caniveaux de Beyrouth, toi aussi à qui je pense et qui a cru en Dieu jusqu’au bout de ton cancer, tous, tous nous sommes fauchés un jour par le croche-pied rigolard de la mort imbécile, et les droits de l’homme s’effacent devant les droits de l’asticot.
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