[PREVIEW] Eurydice de Lou Lubie et Solen Guivre - Delcourt

[stoney]

Orphée est un jeune chanteur au talent quasi divin, idéaliste et révolté. Sa soeur Calliopé, danseuse d'exception, se bat pour sauver son métier. Mais leur rencontre avec une mystérieuse étrangère nommée Eurydice va bouleverser leurs priorités... Tandis que derrière leurs masques, les dieux et les muses de l'immense cité de papier révèleront leurs failles, terriblement humaines et universelles.

J'ai beaucoup aimé ça relecture du mythe d'Orphée et Eurydice avec beaucoup de sensibilité. Coup de coeur pour le personnage de Calliopé qui casse les diktats physiques des femmes.
Pour le dessin, il y a ce côté "informatique" qui peut repousser, perso j'ai trouvé les scènes dans le royaume des morts vraiment magnifiques.

[Casou]

Merci pour ton retour.

[nexus4]

WOPOPOP ! LA PREVIEW !



Orphée est un jeune chanteur au talent quasi divin, idéaliste et révolté. Sa soeur Calliopé, danseuse d'exception, se bat pour sauver son métier. Mais leur rencontre avec une mystérieuse étrangère nommée Eurydice va bouleverser leurs priorités...
Tandis que derrière leurs masques, les dieux et les muses de l'immense cité de papier révèleront leurs failles, terriblement humaines et universelles.

[Olivier_D]

Les pages présentées en preview sont vraiment très belles. Belles ambiances, belles attitudes. Il faudra que je le feuillette plus avant.

[Olaf Le Bou]

c'est super beau ça

j'ai failli passer à côté, j'ai cru que c'était encore une de ces BD de commande genre la mythologie en BD.

hop, wishlist.

[ubr84]

Après Racines qui est vraiment un très très bon bouquin, mais dans la veine auto-bio et vulgarisation Lou Lubie frappe fort cette année, et dans des registres variés !

Sa réécriture du mythe est très intelligente. On le connait tous mais les autrices arrivent à nous accrocher en y insufflant beaucoup de thèmes qui ne sont pas plaqués mais au contraire s'intègrent naturellement au récit.
Et une vraie réussite graphique !

Très bonne découverte

[Olaf Le Bou]

Un album qui aurait largement eu sa place dans la sélection "première oeuvre" des BDGest'Art, tant la partition rendue part Solen Guivre est épatante.

Et la relecture du mythe grec, sa transposition dans un univers oriental fantasmé, tout cela est très élégamment fait. Beaucoup aimé cet album.


D'ailleurs, je me demande s'il n'y a pas une petite vendetta personnelle en cours ici, vu la faiblesse des notes...:

ahem.jpg (11.45 Kio) Vu 225 fois

[nexus4]

D'ailleurs, je me demande s'il n'y a pas une petite vendetta personnelle en cours ici, vu la faiblesse des notes...:

Effectivement il y a un noteur qui met 0 partout. Notes supprimées.
Et un auteur qui met 0 à tous les albums sauf aux siens auxquels il met 5. La classe. Notes supprimées également.

Pour le reste c'est sévère, il y en a un qui met que des 5, 4 ou 0, mais ce n'est pas à moi de juger (sans preuves supplémentaires).

La note est déjà un peu remontée. Je vais demander à Marion qui a rédigé la chronique de noter l'album sur la BEL également.

[nexus4]

Un album qui aurait largement eu sa place dans la sélection "première oeuvre" des BDGest'Art, tant la partition rendue part Solen Guivre est épatante.

Il a été en concurences avec ces deux autres titres d'autrices qui sont sans doutes de la même école ou du même studio (?). Toujours est il qu'elle ont toutes sorti leur premier album cette année et que leur style sont quasiment interchangeables.
Ce qui a peut-être handicapé Eurydice c'est qu'il est sorti sur le tard et scénarisé par une pro. Ce n'est pas excluant, mais c'est facteur pris en compte par certains dans ce genre de balance à trois plateaux.



1938, Chicago. Jules, un jeune immigré italien de 17 ans, vit de petits boulots jusqu'au jour où Adam Czar, un ponte de la mafia locale, séduit par son culot, lui propose de travailler pour le milieu en récupérant le pizzo payé par les commerçants en échange de leur protection. Attiré par l'argent facile et les beaux costumes, Jules accepte et s'intègre vite grâce à son bagout. Parallèlement, les deux hommes entretiennent dans le plus grand secret une relation amoureuse, situation particulièrement mal vue dans le milieu. Jules prend alors de plus en plus d'assurance, jusqu'au moment où une guerre entre familles les pousse à rejoindre New York. Grâce à ses origines italiennes, il intègre une des familles iqui détient le pouvoir à la Grosse Pomme, pendant qu'Adam, d'origine polonaise, doit se contenter d'être un simple associé... Jules prête serment et devient alors un homme influent à son tour, attisant les tensions entre les deux hommes. Il croise sur sa route Eufrasio, un mafieux impulsif qui l'entraîne dans un jeu devenu incontrôlable et dangereux, surtout lorsque les Fédéraux commencent à s'intéresser de près à leurs affaires...

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Dans les contrées normandes du IXe siècle, Tarik et Adalrik grandissent aux côtés de leur maman Galwinthe.

Lorsque qu'Adalrik est assassiné, Tarik se mure dans le silence.

Hanté par le fantôme de son frère, il grandit à la recherche d'une vengeance qu'il espère salvatrice. Noyant son chagrin dans l'alcool et les arnaques, il est convaincu que retrouver les coupables l'aidera à faire son deuil.

Bercée par les croyances celtes et vikings, Galwinthe se réfugie dans l'étude de parchemins pour trouver comment guider Adalrik dans le royaume des morts.

Ensemble, ils vont découvrir que le sort d'Adalrik était scellé depuis des années. Depuis un événement dramatique lié à Galwinthe...

Ce que les corbeaux nous laissent, premier roman graphique de Sophie Leullier, est un récit puissant et orageux qui convoque un riche folklore médiéval pour raconter les différentes phases d'un deuil.

[Aleksi]

Je trouve le travail bien plus costaud sur Eurydice que sur Rivages Lointains ! Le travail des couleurs et des décors est bien plus abouti sur Eurydice.

Pour sa sélection en premier album, on privilégie autant que possible les auteurs complets, du moins de mon côté, (travail plus conséquent et intéressant que des albums scénarisés par des personnes déjà aguerries) et Eurydice a bien été évoqué parmi le jury mais bon comme toujours y a des choix à faire

[etherns]

J'ai lu cette BD cette semaine et je me suis pas mal ennuyé. Déjà la claque visuelle que promet la couverture n'a pas été au rendez vous pour moi et le texte bien que j'apprécie la mise à jour moderne du matériel de base, ce fut fastidieux de terminer.