« Dans un monde en guerre… »
T1. La trahison
Auteur
St James alias JmZ
Statut : amateur cherchant à faire un travail de pro
Expérience : nouvelle «
L'aquilon et le désert », 3 romans non publiés, quelques nouvelles.
Contact : cs_stjames@hotmail.com
Le scénario
Titre : Dans un monde en guerre… T1. La trahison
Genre : Ambiance début de XXè siècle : 1ère guerre mondiale & Années Folles en version steampunk / post-apo à techno néo-rétro…
Public : post-ado / adulte
Format : one-shot de 54 planches ; 3 ou 5 albums au total, en une série de one-shot.
Style graphique recherché : réaliste ou semi-réaliste, de préférence un graphisme « tourmenté », entre
Philippe Adamov et
Guillaume Sorel.
État d'avancement du travail : le scénario est finalisé, le découpage fait.
Inspirations
La Mandiguerre, Sillage T3 : « Engrenages », Fée et tendres automates, Hauteville House, Les Eaux de Mortelune, Clockwerx, La Nef des fous,
les illustrations de Sam van Olffen, le jeu vidéo Bioshock et les illustrations de
Iron Grip.
Pitch
Dans un monde en guerre, qui sommes-nous ? Sommes-nous définis par nos actions, notre courage, notre lâcheté ? Sommes-nous définis par nos amitiés ou au contraire, par nos trahisons ? « Dans un monde en guerre… » est le récit d'un homme, Ga'rom, qui va apprendre à ses dépends le prix du meilleur des choix. L'amitié, l'amour même, se verront sacrifiés sur l'autel de la survie.
Synopsis
Éclaireur pour un groupe de mercenaires,
Ga'rom sillone les routes à moto. Il possède un grand nombre de contacts à travers le pays, et de très bonnes connaissances géographiques et linguistiques.
Faisant suite à une série de décisions malheureuses, son commandant choisit, à la demande de son commanditaire le
Marquis de Chantonnot, de ne pas respecter le « délai de dédit » qu'il a avec un client. Le délai de dédit autorise un groupe de mercenaires à rompre leur « relation commerciale » (clairement, à changer de camp), dans un délai précis qui est défini de manière contractuelle. Cela laisse à l'employeur le temps de se réorganiser. Cela permet aussi de distinguer les mercenaires des bandits, sans foi ni loi. C'est donc la réputation du groupe de mercenaires qui est en jeu, son sérieux, ses contrats futurs, sa pérénité et, par conséquent, la capacité de chacun des mercenaires à survivre.
La décision de leur commandant pousse Ga'rom et ses amis à quitter le bataillon dont ils font partie pour tenter de monter le leur propre. Pour cela, il faut des hommes, du matériel et de gros moyens financiers.
Quô est l'allié idéal pour les aider dans cette entreprise. C'est un "enginieur" hors-pair, ami de Ga'rom, qui a réuni, au fil du temps, une équipe d'exception autour de lui. Il vit avec leur famille et une petite armée dans une forteresse aménagée, une véritable ville à demi-souterraine. Ils y réparent, entretiennent et vendent du matériel militaire à toutes les factions mercenaires du pays.
Avec l'aide de Quô, Ga'rom organise l'attaque d'un convoi militaire. Ce faisant, il trahit son (ex-)commandant à qui le convoi était destiné, et s'accapare le matériel du commanditaire. Le Marquis de Chantonnot, mécontent, met toutes ses forces dans les représailles et attaque la forteresse de Quô où les amis de Ga'rom ont trouvé refuge. C'est une bataille qui tourne au massacre pur et simple, en raison de nouvels alliés à Chantonnot : des phalangistes religieux, au tempérament fanatique.
Parti à moto chercher un client pour revendre une partie du matériel volé, Ga'rom est absent lors de l'attaque. Il ne rentre à la forteresse que pour y trouver ruines et cendres.
Mais un message est laissé : Chantonnot désire rencontrer Ga'rom. Il lui proposera une place dans son équipe car il a besoin de gens compétents, qui ont de la ressource, connaissent le pays, possèdent de nombreux contacts, et qui lui permettraient de mener à bien son grand projet : globaliser les innombrables conflits du monde, en un seul, unique. Ses investissements, dispersés dans une guerre par trop chaotique et incertaine, seraient assurés d'une meilleure rentabilité…
De part leur statut de mercenaires, les amis de Ga'rom ont toujours respecté une certaine éthique, un code des guerriers. Témoins du massacre innommable à la forteresse de Quô, ils refuseront l'offre. Ga'rom, lui, l'acceptera.
L'univers
Le monde du récit est un monde en guerre perpétuelle. Les baronnies s'affrontent, les clans se vengent, les commerçants d'armes font leur business.
Les villes sont détruites ou retranchées derrière d'épaisses murailles, les paysages désertiques et scarifiés, les humains, civils ou militaires, blessés dans leur histoire, leur famille, leur psychologie.
Et dans ce monde en guerre, chacun essaye de survivre…
D'un point de vue esthétique, les vêtements, les véhicules, les bâtiments sont typés Première guerre mondiale, tandis que les architectures sont typées Art Nouveau (le château du marquis) ou "architecture communiste" (i.e. usines, bâtiments administratifs). Les vêtements et décors intérieurs sont eux typés Années Folles.
Le côté steampunk est présent partout dans la ville et l'architecture mais aussi dans certaines armes comme les fusillards (fusils d'assault), ou dans les véhicules plus élaborés, comme l'utilisation intensive d'aéroflots (zeppelins), de chenillards lourds (tanks) ou légers (jeeps/motos à traction arrière chenillée) mais aussi de monogyres (petits hélicoptères armés d'une mitrailleuse et de quelques bombes), d'exos (exo-squelettes chromés ou cuivrés) ou de mékas (robots géants conduits par des humains dans un poste de pilotage). Les appareils de communication sont des espèces de minitels tout pourri avec des écrans verts et des gros pixels (cf. Brazil ?). Les voitures de riches peuvent même avoir un look rétro-futuriste typé steampunk, genre années 50 avec chaudière cuivrée
)
Au fil des albums de la série, la technologie évolue et l'on constate l'apparition d'avions à réaction, de lances-missiles de plus en plus efficaces, de mékas plus nombreux, plus grands et davantages perfectionnés, mais aussi d'armes biologiques comme des êtres améliorés techniquement (cybersteampunk) ou génétiquement (génétisteampunk
).
Pour ceux qui sont intéressés, j'ai une galerie d'objets steampunk, glanés ici et là sur le net.
Intention et état d'avancement du projet
Le but est d'être édité. Voire, éditer une série basée sur ce premier volume. Dans mes rêves : pouvoir en vivre… Oui, rien que ça !
Pour cela, 3 étapes : 1- écrire le scénario (fait), 2- intéresser un dessinateur (en cours), 3- intéresser un éditeur (à faire) avec un dossier travaillé (une dizaine de planches démo encrées, des croquis, etc.).
Le scénario est finalisé ; le découpage des planches et des cases pour chaque planche est effectué ; pas l'organisation des cases. Pour le découpage, il ne s'agit que d'une proposition je suis tout à fait prêt à retravailler si le dessinateur le juge nécessaire. Certains choix finaux ne sont pas encore fait, au niveau du découpage, des transitions ou même du séquencement de certaines scènes.
Mais globalement, tout est là et nécessite un œil extérieur pour l'améliorer.
Au niveau du travail d'équipe, je suis exigeant mais à l'écoute : je ferme ma gueule quand le partenaire a de bonnes raisons de vouloir ce qu'il veut et j'en attends autant. Ce projet n'est pas mon bébé, c'est le notre (et encore, seulement avant de passer par la case "éditeur" !). Ce n'est pas l'ego qui prime, c'est la qualité du projet et le résultat final.
Voilà, c'était tout
Il reste la
description des personnages principaux. N'hésitez pas à me contacter par mail si elle vous intéresse.
Bonne journée,
James
[EDIT : je mets cette proposition dans « Petites annonces »]