@ yannzeman
Ah ! Tu m'as fait peur pour la pilule ! J'ai cru que j'avais fait une conn...
Dans cette histoire (je parle des "chats"), je me suis amusé (et c'est vraiment le terme) à construire un personnage dont la personnalité va être influencée par un environnement néfaste, sombre, et parsemé de violence.
Parce que Jacques est un héros à part entière, marqué au fer rouge par son enfance. Le but, ici, est créer une empathie du lecteur pour un personnage qui, malgré son côté taciturne, mélancolique, et le tragique de son destin, le mérite amplement. Et il est tout sauf un zéro, justement.
Je m'appuie également sur la voix-off, sur cette narration homodiégétique (un type raconte une histoire dont il est le héros) qui me permet également de travailler le lecteur "au corps", pour qu'il appréhende meux les tenants et les aboutissants de ses actions (un peu comme les voix-off dans les films de mafia, ceux de Martin Scorsese notamment).
Et il ne vaut mieux pas s'identifier à lui, non...
Voili voilou, MP également pour toi !