Sous les paillettes d’Hollywood, la toute-puissance de la Mafia Dans le Hollywood daprès-guerre, starlettes, juges, producteurs de cinéma et parrains de la mafia dînent à la même table. En cette année 1946, le plus dangereux caïd sappelle Bugsy Siegel. Il est connu pour son tempérament sanguin et ses méthodes de racket efficaces... Étant donné la corruption ambiante, seul un agent infiltré peut avoir ses chances de faire tomber le système mafieux. On envoie alors sous une couverture William Lawford, le fils de lacteur et producteur Peter Lawford. Si William se doutait bien quil se jetait dans la gueule du loup, il est assez désagréablement surpris de devenir le principal suspect dun meurtre dès son premier jour à Hollywood... Dans une ambiance truculente et sexy à la L.A. Confidential, Mathieu Mariolle et Kyko Duarte nous emmènent dans les coulisses sulfureuses dHollywood...
N’étant pas sans rappeler toute l’iconographie hollywoodienne de L.A. Confidential en passant par Le Dahlia noire, cet album évoque au-delà des clichés de circonstances, la recherche d’une certaine forme de probité dans une ville où elle n’est toujours pas de mise…
Les gens intelligents doutent, les imbéciles aussi... mais de rien !
J'adore cette couv' "Elfes" et maintenant "Dans la paume du diable" il est productif le monsieur surtout avec la qualité de ses dessins! Niveau pitch c'est pas ce qui m'attire le plus, mais je suivrai tout de même de près...
Mouais... Assez peut emballé par le pitch en fait. De même que par le graphisme. Le tyfe qui farle dans la feuxième vignette c'est fris le foing de Bugfy dans la tromfe ?
Je pense que je vais plutôt attendre quelques retours.
Hello, It was hard to do two differents volumes at same time, but... here are them. Now, i'm doing second volume of Dpd and another... very very different.
A quand la sortie du tome 2 ? Bien qu'abordé sous l'angle de la fiction, l'intérêt historique du premier tome était évident sur l'analyse d'une période où la "pieuvre mafieuse" s'intéressait aux retombées économiques évidentes que l'industrie cinématographique florissante représentait