Dès le début du récit, la rencontre de Laoqui, la découverte de son étrange boutique et la quête mystérieuse des photos tend à mettre en place un suspens intrigant. Mais…..surprise, tout se termine à la page 97! Puis malheur, les 174 pages suivantes sont d’un ennui mortel. On croirait assister à une séance de diapositive du dernier voyage en Floride d'une vielle tante
Pour un opinion plus étoffé
http://bdmetrique.com/2015/03/20/cicatrices/