Mais qui en fait n'en n'est pas une puisque c'était déjà sorti en 2010:
Malmené par la vie, le père Antoine Boitelle se remémore sa chère jeunesse : lorsqu'il était soldat au Havre, à rêver devant les navires en partance pour les pays lointains ; son coup de foudre pour la belle Norène, une jeune Africaine serveuse au Café des colonies. Si le jeune Antoine vécut une immense passion, il se heurta également à la laideur du racisme quotidien et à la résistance de ses parents, paysans, face à un mariage beaucoup trop « coloré » à leur goût.
Tout en gardant l'esprit littéraire de l'auteur, avec ce mélange subtil d'amertume douce, les auteurs ont fait un bien beau boulot d'adaptation en s’appropriant la nouvelle d'origine (qui est une des rares qu'il me semble n'avoir jamais lu).
C'est le second album du week-end dédié aux adaptations du grand Maupassant, cycle qui s'achève aujourd'hui avec un chef d'oeuvre du genre, à savoir:
Le tout en musique comme vous pouvez vous y attendre.