Tiens après avoir réduit Moto Hagio à une autrice participante à un recueil rendant hommage à Parasite, la voilà à nouveau effacée de la shortlist, alors que ses oeuvres majeures sortent en français et qu’elle a bénéficié d’une expo à Angoulême. Mais à part ça, les méchantes LGBTQ+ empêchent les gentils auteurs d’avoir la visibilité qu’ils méritent, et la suprématie du Boys Club est menacée, vraiment la réalité alternative des virilistes, c’est fascinant.