lusabets a écrit:Un peu éloigné, mais pas tant que ça, il y a Stéphane Clément, de Daniel Ceppi.
Etc.
lusabets a écrit:J'ai connu Ceppi avec (À SUIVRE!).
Cabarezalonzo a écrit:lusabets a écrit:J'ai connu Ceppi avec (À SUIVRE!).
Tu as démarré la lecture directement à partir du quatrième tome ? Sans avoir lu auparavant les trois histoires précédentes, qui fondent l'errance et les pérégrinations mouvementées de Stéphane ?
J'ai découvert Ceppi grâce à Métal Hurlant qui prépubliait "A l'Est de Karakulak", la suite du "Guêpier", en feuilleton étalé sur sept mois. Dès la première tranche, ça m'a incité a acheter sans tarder la réédition (non redessinée et toujours en n&b 24x32) du Guêpier, l'eo étant parue chez un éditeur helvétique assez mal diffusé en France (sauf dans les grosses librairies de la capitale, comme Temps Futurs de Barets, Futuropolis de Robial et Cestac et une poignée d'autres).
Et c'est après la prépublication du "Repaire de Kolstov" dans Métal que les aventures de Stéphane Clément passeront dans (A SUIVRE) en couleurs.
Je ne regrette pas d'avoir découvert la série en n&b, même si les albums en couleurs (redessinés pour les trois premiers) sont aussi d'excellente facture.
Cabarezalonzo a écrit:lusabets a écrit:J'ai connu Ceppi avec (À SUIVRE!).
Tu as démarré la lecture directement à partir du quatrième tome ? Sans avoir lu auparavant les trois histoires précédentes, qui fondent l'errance et les pérégrinations mouvementées de Stéphane ?
J'ai découvert Ceppi grâce à Métal Hurlant qui prépubliait "A l'Est de Karakulak", la suite du "Guêpier", en feuilleton étalé sur sept mois. Dès la première tranche, ça m'a incité a acheter sans tarder la réédition (non redessinée et toujours en n&b 24x32) du Guêpier, l'eo étant parue chez un éditeur helvétique assez mal diffusé en France (sauf dans les grosses librairies de la capitale, comme Temps Futurs de Barets, Futuropolis de Robial et Cestac et une poignée d'autres).
Et c'est après la prépublication du "Repaire de Kolstov" dans Métal que les aventures de Stéphane Clément passeront dans (A SUIVRE) en couleurs.
Je ne regrette pas d'avoir découvert la série en n&b, même si les albums en couleurs (redessinés pour les trois premiers) sont aussi d'excellente facture.
J'ai relu la série quarante ans plus tard, en 2019, je dirais, juste avant le coronacircus. Et ce fut une agréable surprise de redécouvrir cette histoire fleuve et bien fichue qui n'avait pas pris une ride tout en reflétant parfaitement l'époque et les lieux où l'action se situe.
Je recommande aussi sa lecture aux amateurs de Pratt et de Tardi.
Les amateurs de Pratt et d'exotisme seront servis et pourront trouver leur bonheur dans certains titres d'Attilio Micheluzzi : Marcel Labrume, Afghanistan, L'homme du Tanganyika, L'homme du Khyber, Sibérie, etc...
Cabarezalonzo a écrit:lusabets a écrit:J'ai connu Ceppi avec (À SUIVRE!).
Tu as démarré la lecture directement à partir du quatrième tome ? Sans avoir lu auparavant les trois histoires précédentes, qui fondent l'errance et les pérégrinations mouvementées de Stéphane ?
J'ai découvert Ceppi grâce à Métal Hurlant qui prépubliait "A l'Est de Karakulak", la suite du "Guêpier", en feuilleton étalé sur sept mois. Dès la première tranche, ça m'a incité a acheter sans tarder la réédition (non redessinée et toujours en n&b 24x32) du Guêpier, l'eo étant parue chez un éditeur helvétique assez mal diffusé en France (sauf dans les grosses librairies de la capitale, comme Temps Futurs de Barets, Futuropolis de Robial et Cestac et une poignée d'autres).
Et c'est après la prépublication du "Repaire de Kolstov" dans Métal que les aventures de Stéphane Clément passeront dans (A SUIVRE) en couleurs.
Je ne regrette pas d'avoir découvert la série en n&b, même si les albums en couleurs (redessinés pour les trois premiers) sont aussi d'excellente facture.
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