D rôle et tragique, aidé d’une poésie fiévreuse et souillée bien à lui, Éric Salch livre une vision personnelle et décalée des Misérables. Si le récit suit parfaitement la narration de l’œuvre originale et que la pertinence de son propos reste indéniable, Éric Salch grossit les traits, ajoute anachronismes et absurdités pour ainsi nous faire rire du drame et du terrible de cette sublime tragédie romanesque.
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