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olicier intimiste hitchcockien d’inspiration Nouvelle Vague, « La dernière rose de l’été » revisite le récit d’ambiance avec une grâce épurée. Une esthétique léchée, des couleurs hypnotiques et un don singulier pour établir des atmosphères mystérieuses : pas de doute, c’est bien le nouvel Harari !
C’est l’été. Léo, jeune rêveur parisien caressant l’espoir de devenir écrivain, bosse dans un lavomatique en attendant de trouver l’inspiration pour son grand œuvre. Un soir, il croise par hasard un cousin qui lui propose de garder sa maison de vacances au bord de la mer. Coup de pouce du destin, le timide Léo se retrouve, quelques jours plus tard, voisin de riches plaisanciers aux voitures de collection et villas d’architecte.
Cependant, malgré l’atmosphère légère et surréaliste, quelque chose ne tourne pas rond. De jeunes hommes disparaissent aux alentours ; la tension monte… C’est dans ce cadre étrange, et tandis que l’inspecteur Beloeil mène l’enquête, que Léo rencontre sa jeune voisine, adolescente capricieuse et sauvage : la belle Rose.
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