Thierry Tinlot (le rédac-chef) avait annoncé de nouveaux auteurs chez Fluide Glacial. Les faits ont rapidement suivi l'annonce. Omond et Yoann, les auteurs de La voleuse du Père fauteuil et de Toto l'ornithorynque, signent la couverture du n°357 (mars 2006) et démarrent une nouvelle série : Paris Strass. Il y est question des relations troubles entre une princesse en quête de médiatisation et les paparazzi du "Paris Strass", magazine people sulfureux.
Une signature qui ravira les amateurs d'OuBaPo : Etienne Lécroart, collaborateur régulier de la Gazette de Frémion dans les années 1990, revient dans Fluide ! Après Le Cycle, Cercle vicieux et L'élite à la portée de tous (parus à L'Association), le professeur Fignoteau et ses assistants reprennent du service, et en couleurs s'il vous plait.
Parmi les nouveaux collaborateurs, ô suprise : une collaboratrice, et pour une fois ce n'est pas un pseudo de Frémion ou de Fioretto. Elle signe Isa, vérifiez page 17. Allez les filles ! Aujourd'hui une page dans Fluide, demain la parité !
Cela faisait un moment que Christian Binet rassemblait de la documentation à propos d'internet, cherchant comment entraîner Raymonde et Robert Bidochon dans les vertiges du on-line... Après un Carnet Intime où il dévoilait ses talents de peintre, et un album tout cartonné commémorant les 25 ans des Bidochon, l'auteur lance Raymonde et Robert à l'assaut des autoroutes de l'information... Oui enfin, dès que Monsieur Bidochon aura compris comment on branche le bidule !
Et pendant que Relom relance la mode des charentaises... Cosmik Roger (par Julien et Mo/CDM) pourrait bien avoir enfin trouvé la planète compatible qu'il cherche depuis si longtemps (il faut dire que jusqu'à présent, il l'avait surtout cherchée dans les bars de la galaxie).
Côté rédactionnel, Frémion tire un portrait de Gotainer pour T'ar ta lacrem et continue de déjouer les clichés insupportables de la BD dans Souverains poncifs (quel titre magnifique !). Pas de photo-BD de Bruno Léandri ce mois-ci, mais une Chronique du dérisoire consacrée à François Corbier, ex-animateur d'émissions jeunesse, qui est retourné à ses premières amours : la chanson déconno-poétique underground.
