Mirdhynn a écrit:Cet argument du "Les retraites ne font pas parti du budget de l'état." , c'est un cache misère idéologique.
Si ça ne fait pas partie du budget de l'état, pourquoi on s'endette pour compenser le déficit de cotisations ?
C'est vraiment pour essayer de dire qu'il n'y a pas de problème.
alacoume a écrit:J'avais bien compris. Le salaire est très subjectif, mais je ne trouve pas que cela soit confortable... Cela dépend si l'on parle d'un foyer ou non et de ton niveau de vie avant la retraite.
fanche a écrit:Mirdhynn a écrit:Cet argument du "Les retraites ne font pas parti du budget de l'état." , c'est un cache misère idéologique.
Si ça ne fait pas partie du budget de l'état, pourquoi on s'endette pour compenser le déficit de cotisations ?
C'est vraiment pour essayer de dire qu'il n'y a pas de problème.
Ce qu'il faut comprendre c'est que c'est une cotisation pas un impôt et que non l'état n'était pas censé avoir la main dessus . Le cache misère idéologique est dans ton camp (camarade)
tzynn a écrit:1600 milliards d'euros pardon, je fais 2 choses à la fois
Sinon si, les retraites sont aussi au budget de l'état. Il paie les retraites des fonctionnaires, et compense la différence entre les cotisations et ce qui est à payer effectivement, y compris via la CSG.
toque a écrit:Ensuite, qu'importe qui est l'employeur, public ou privé. La retraite ce sont des cotisations qui sont le fruit du travail des salariés. Je suis donc en désaccord avec toi. Ce n'est pas l'état qui paye les retraites des fonctionnaires, ce sont les fonctionnaires qui profitent de leur travail à travers leurs cotisations.
tzynn a écrit:
Tu sais comme moi que ce que touchent les retraités actuellement n'est pas le fruit de leur cotisations. C'est la cotisation des gens qui travaillent actuellement qui paie les retraites, et que tu as une décorrélation entre tes paiements de cotisations et l'argent qui t'arrivera dans le futur.
Mirdhynn a écrit:fanche a écrit:Mirdhynn a écrit:Cet argument du "Les retraites ne font pas parti du budget de l'état." , c'est un cache misère idéologique.
Si ça ne fait pas partie du budget de l'état, pourquoi on s'endette pour compenser le déficit de cotisations ?
C'est vraiment pour essayer de dire qu'il n'y a pas de problème.
Ce qu'il faut comprendre c'est que c'est une cotisation pas un impôt et que non l'état n'était pas censé avoir la main dessus . Le cache misère idéologique est dans ton camp (camarade)
Si l'état n'a pas la main dessus, pourquoi il doit remettre au pot tous les ans ?
Mirdhynn a écrit:fanche a écrit:Mirdhynn a écrit:Cet argument du "Les retraites ne font pas parti du budget de l'état." , c'est un cache misère idéologique.
Si ça ne fait pas partie du budget de l'état, pourquoi on s'endette pour compenser le déficit de cotisations ?
C'est vraiment pour essayer de dire qu'il n'y a pas de problème.
Ce qu'il faut comprendre c'est que c'est une cotisation pas un impôt et que non l'état n'était pas censé avoir la main dessus . Le cache misère idéologique est dans ton camp (camarade)
Si l'état n'a pas la main dessus, pourquoi il doit remettre au pot tous les ans ? (Parce que sinon la société se désagrègerait)
Mais bon on ne va pas jouer à faire Si ! Nan! Si! comme des gosses sur le sujet ...
tzynn a écrit:Je m'attends pour ma part, après avoir cotisé toute ma vie, à ne pas toucher un euro une fois à la pension...
tzynn a écrit:La différence, quelle que soit la source, vient de l'état et du budget.
La dérive du déficit s'explique par la politique fiscale d'E. Macron : baisse de l'IS, exonérations de cotisations sociales patronales, réduction impôts de production, baisse impôt sur le revenu, défiscalisation des heures sup, suppression taxe d'habitation etc et non pas par une dérive des dépenses publiques ... puisque la dépense publique totale, en points de PIB, est stable sur la période :
➡️ la masse salariale des administrations publiques a baissé
➡️ les prestations sociales ont diminué
Ramener la taille du gouvernement de 35 à 23 ministres, supprimer 20 000 communes et autres collectivités locales, réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires, alléger les impôts, faciliter les heures supplémentaires, créer une bourse des données comme il en existe pour les actions… Pour leur première sortie publique, les patrons et les économistes réunis dans le Front économique n’ont pas voulu d’un consensus mou. Leur document, dévoilé vendredi 29 août, comporte une série de mesures chocs, de nature, selon eux, à enrayer le déclin de la France, mais dont l’adoption paraît à ce stade politiquement peu réaliste.
Bolt a écrit:Heureusement qu'ils sont là :
Le patronat dévoile son plan pour créer un « sursaut de croissance » : moins d’agents publics, moins d’impôts et plus d’heures supplémentaires (article abonnés)Ramener la taille du gouvernement de 35 à 23 ministres, supprimer 20 000 communes et autres collectivités locales, réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires, alléger les impôts, faciliter les heures supplémentaires, créer une bourse des données comme il en existe pour les actions… Pour leur première sortie publique, les patrons et les économistes réunis dans le Front économique n’ont pas voulu d’un consensus mou. Leur document, dévoilé vendredi 29 août, comporte une série de mesures chocs, de nature, selon eux, à enrayer le déclin de la France, mais dont l’adoption paraît à ce stade politiquement peu réaliste.
Le choc ! ça ne ressemble vraiment, vraiment à rien de ce qu'on a connu.
Olivier_D a écrit:En attendant, Bayrou, c'est le seul qui est contre l'esclavage des jeunes.
Bande de vieux négriers, qui voulez exploiter la belle jeunesse de notre pays, honte à vous !
On se marre bien quand même...
Après sa conférence de presse lundi, son interview au journal télévisé mercredi, son discours au Medef jeudi et ses interventions aujourd’hui à la foire agricole de Châlons-en-Champagne, François Bayrou s’apprête, selon nos informations, à s’essayer à un format inédit.
Ce dimanche, à 18 heures, il répondra depuis Matignon aux questions des quatre chaînes d’information en continu, réunies pour l’occasion. Pour cette interview, CNews sera représenté par la journaliste Sonia Mabrouk, Franceinfo par Myriam Encaoua, LCI par Darius Rochebin et BFMTV par Marc Fauvelle, nouveau visage de la chaîne. L’émission durera environ une heure et sera consacrée à la situation budgétaire de la France.
Le chef du gouvernement n’en finit plus de s’exprimer dans les médias pour essayer de renverser la situation politique. Il lui reste à peine dix jours pour convaincre les Français, et surtout les députés, de lui accorder la confiance pour redresser les comptes publics. Tâche ardue, tant l’arithmétique parlementaire lui est (pour l’instant) défavorable : une large majorité de députés a annoncé son intention de voter contre la confiance, le 8 septembre, à l’Assemblée nationale. Ce qui entraînerait dans la foulée la chute du gouvernement.
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