tiburce oger 2 a écrit:Arrêtez déjà de croire qu'il faut une société ultra performante pour organiser ce festival. Au départ, c'est une poignée de fondus locaux qui ont invité qq dessinateurs et sorti des tables et des tréteaux dans la rue. Sans auteurs, pas de festival, point barre! Les profiteux qui se nourrissent sur la bête depuis des décennies, ça suffit. Tous ces parasites gagnent ce que la majorité des autrices-auteurs ne gagneront jamais! Alors on ressort les tréteaux et les tables devant les restos et on retrouvera un festival humain, pas cette grosse pantalonnade annuelle qui cause gros sous au final pour tout le monde, sauf les autrices-auteurs!!!
Voilà de belles paroles, redonnez à Angoulême sa vraie vocation, pouvoir donner aux auteurs une visibilitée, favorisez les échanges, montrer de belles expos, distribuer des prix,
ce genre de festival gave plus certains quidams qu'il ne sert aux autres, une poule aux oeufs sauf qu'a table peu ont les oeufs.
Mais aussi stop aux prix par copinage, par mode,
aux séléctions pour faire genre
Laissez le public choisir les lauréats ( c'est quand même eux qui font le succès de nos bds... ou pas)
Désolé sans être mysogine, mais si il n'y a pas de lauréates féminines dans le final, autant créer alors un prix féminin, pas mettre des pseudos gagnantes parce qu'il faut, parce que ça fait bien, ça ne les valorises en rien puisque c'est juste pour plaire.
Entendons nous, je ne dis absolument pas qu'elles n'ont pas leurs places, pas de talents, pas de mérites, mais ces dernières années j'ai plus une impression d'avoir de la part du festival fait gagner des prix soit par orientation choisie, soit pour éviter des polémiques, soit pour montrer qu'on est dans le courant que par vrai choix et mérite
Et pareil pour d'autres styles, artistes, sans distinction de sexe.
Ce genre de festival ne vit plus pour la passion ( du moins ceux qui le dirige), il ne vit que pour se remplir les poches, enrichir certains, la bd ne devient plus qu'un prétexte
Comme le Tiburce, une poignée de passionnés, de locaux, de l'envie suffira largement à le faire vivre ( pas besoin de ces structures floues et opaques dont on connaît toujours le fil conducteur....l'argent)