Islander
1. L'éxil
Futur proche Le continent européen est victime de catastrophes multiples, des réfugiés de tous les pays s'amassent au port du Havre, lieu de transit vers un hypothétique salut. L'Islande est encore épargnée, mais pour combien de temps ? Liam, qui a déjà tout perdu, va tenter sa chance en subtilisant le pass d'une migrante, sans savoir que l'Islande[…]
Encore une aventure pour "Fanfoué des Pnottas" permettant de mettre en avant une belle région de la Haute-Savoie. "L'alpage disparu" parle du glissement de terrain survenue en 1943 dans le Chablais et créant ainsi le beau "Lac de Vallon" dans la vallée du Brevon. Si le contexte historique est intéressant, je trouve la narration timide, les personnages sont très bavards en comparaison de leur champ d'actions et cela ralenti le dynamisme générale du récit. L'ensemble est très linéaire (changement de temporalité mais pas de lieu). Quelques plans d'ensemble permettent de capter l'ambiance montagnarde, mais on ne ressent pas l'atmosphère autant qu'il le serait possible, les récits sont centrés autour d'une enquête qui n'a pas beaucoup d’intérêt (exit les diamants sortis de nulle part). Les personnages manquent de matière grise, celui de Anne, manque d'impact, Fanfoué est également plus effacé qu'a l'accoutumé malgré son humour et ses jeux de mots toujours présents.
Coté dessin, Felix Meynet propose un dessin régulier sur ces personnages, les costumes, mais on peut reprocher le manque de détails des décors et un trait rapide qui joue beaucoup de l'atmosphère générale, c'est trop léger, exception faites aux quelques détails sur les plans d'ensemble, réussi mais peu nombreux. La mise en couleur est correct, manque un peu d'énergie.
Encore une aventure pour "Fanfoué des Pnottas" permettant de mettre en avant une belle région de la Haute-Savoie. "L'alpage disparu" parle du glissement de terrain survenue en 1943 dans le Chablais et créant ainsi le beau "Lac de Vallon" dans la vallée du Brevon. Si le contexte historique est intéressant, je trouve la narration timide, les personnages sont très bavards en comparaison de leur champ d'actions et cela ralenti le dynamisme générale du récit. L'ensemble est très linéaire (changement de temporalité mais pas de lieu). Quelques plans d'ensemble permettent de capter l'ambiance montagnarde, mais on ne ressent pas l'atmosphère autant qu'il le serait possible, les récits sont centrés autour d'une enquête qui n'a pas beaucoup d’intérêt (exit les diamants sortis de nulle part). Les personnages manquent de matière grise, celui de Anne, manque d'impact, Fanfoué est également plus effacé qu'a l'accoutumé malgré son humour et ses jeux de mots toujours présents.
Coté dessin, Felix Meynet propose un dessin régulier sur ces personnages, les costumes, mais on peut reprocher le manque de détails des décors et un trait rapide qui joue beaucoup de l'atmosphère générale, c'est trop léger, exception faites aux quelques détails sur les plans d'ensemble, réussi mais peu nombreux. La mise en couleur est correct, manque un peu d'énergie.
Lu sans avoir lu aucun des autres tomes de la série auparavant. J'ai trouvé ça très "bourrin". Sympa à lire, divertissant, mais "bourrin". Côté dessin, c'est sympa aussi mais rien d'innovant. Bref, rien qui ne m'a spécialement donné envie de rattraper mon retard et de m'engager dans cette série depuis le tome 1. L'ensemble reste toutefois très au-dessus de la moyenne et on est sur de la bonne "BD SF tous publics".
Une course ne se gagne, même si elle est belle, qu'à la ligne d'arrivée. Bon dieu de bon dieu que cet adage n'a jamais été aussi pertinent que pour cet album!
Bon, mettons de côté tout de suite le travail de Mézières. Comme toujours, il est incroyable. Quel talent dans l'expression et les silhouettes des personnages! Quel génie dans le mouvement et la fluidité de lecture! Quel joie dans l'admiration des décors! Et surtout quel bonheur dans son imaginaire graphique pour rendre réel un univers intergalactique (et terrien aussi) totalement fantasmé par son scénariste! De plus, on retourne sur des lieux ou nous avons déjà baladé et c'est toujours plaisant de retourner dans des endroits ou nous avons déjà tant aimé être dans la lecture des opus précédents.
Parlons ensuite de Christin. Les 16 premières planches content l'amour de deux êtres uniques et superbes dans un lieu qui semble raffiné et paisible mais, oui, on subodore un drame qui se peaufine. La sensation de bonheur multiplie les couacs jusqu'à l'épilogue qui sera terrible pour un personnage que Christin a su nous faire aimé. 16 planches incroyables.
Puis, il y a une enquête de nos agents spatiaux temporels qui sont désormais seuls au monde (ou presque) qui vont dans les 4 coins du monde et dans l'espace. Et, pour moi, ce passage fonctionne parfaitement. Car, rien ne va vite, tout est surannée, cela prend son temps et ainsi on profite du génie de Mézières (mais aussi de la beauté de Laureline). L'enquête avance par petites lampées mais n'est ce pas ainsi qu'une enquête avance normalement?
Et puis il y a le méchant. Pas vraiment méchant, plutôt largué, perdu, en colère mais aussi véritable assassin méthodique et froid d'une créature unique, rare que Christin a su nous faire tant aimé.
Et puis, il y a le dénouement sur les 2 dernières planches et quelques cases seulement. Et patatras, tout le sens, si riche, de la lecture se casse la trombine. L'incompréhension est totale. Christin clôture avec une pichenette pas crédible pour un sou. Pire, ce fameux personnage qu'il nous a tant appris à aimer devient le dindon de la farce. Pire encore, on comprend rien au choix final du méchant (ainsi que son avenir) ainsi que celui de nos héros préférés. Comme si Christin ne sachant pas trouver un final à la hauteur de son histoire, s'est débiné avec une entourloupe.
Ainsi donc la course fut magnifique mais ça c'est quand même bien cassé la gueule juste avant la ligne d'arrivée...
Dès le début de l'histoire, j'ai été pris par le rythme de la vie de Marcie. Elle est attendrissante. A lire !
Que dire !!! La douceur d'une histoire d'amour, un dessin époustouflant... j'en redemande ! Merci Zidrou/Salomone pour ce chef-d'oeuvre qui donne le sourire.
Le premier tome m'avait plus ; le second beaucoup moins parce que ça traîne en longueur. le troisième tome confirme l'impression du deuxième : il y a beaucoup de remplissage. je ne sais pas si c'est fidèle au roman que je n'ai pas lu, mais ça ressemble en tout cas à un roman-fleuve. J'ignore où les auteurs veulent en venir, mais si c'est pour sortir 28 tomes tous plus inutiles les uns que les autres, ce sera sans moi. Si le tome 4 ne clos pas l'histoire, ou si, au moins, il ne remonte pas la pente côté scénario, je jetterai l'éponge, d'autant plus facilement que le dessin est passable.
Le dessin de Rosinski est magnifique et surtout parfaitement calée sur la période historique concernée par cette histoire fantaisiste dont le scénario est agréable. L'ouvrage s'adresse à un lectorat adulte.
Il existe des radios assez étranges qu'il ne vaut mieux jamais capter au risque de terminer trucider par des phénomènes paranormaux. Vous voilà prévenu si vous écouter la fréquence de PTSD Radio. Il vaut sans doute mieux rester sur NRJ, je ne sais pas...
En réalité, dans ce manga, on est plongé par des petites histoires totalement différentes mais il existerait un lien qu'il nous faudra découvrir. Je suis toujours interloqué par ces récits où l'horreur peut surgir du quotidien le plus banal. Bref, il n'est point question de radio.
Le graphisme va jouer sur des nuances et des contrastes dans le trait noir et blanc pour donner un aspect parfois inquiétant. C'est assez réussi sur ce plan-là. Il n'y a rien à redire. La question est de savoir si cela suffit pour sauver l'ensemble.
Il faut dire que je n'ai pas trop apprécié la mise en scène au niveau du scénario avec ces petites scènes car on s'interroge à chaque fois sur ce qui pourrait les relier. On sent bien quelque chose mais cela en devient assez redondant comme si c'était forcé. Je pense que le mangaka aura pu procéder avec plus de cohérence et certainement plus de délicatesse. C'est dit !
Par ailleurs, sur le fond, la fin du récit n'apporte pas grand-chose. A nous de trouver des explications. J'avoue que je n'ai pas du tout été convaincu par ce titre qui se justifie juste par des scènes censées nous faire peur.
Il y a comme un côté assez inabouti. J'apprends cependant qu'il y aura un second tome en janvier 2025 ce qui m'apporte une réponse mais bon, cela ne change rien sur le fond.
Bref, ce manga horrifique risque de ne pas vous laisser indifférent que cela soit dans le bon ou le mauvais sens.
I haven't yet read this series but it may include a lot of mysteries. Where can I read it online? https://candyclicker.io