Contrecoups
Alors qu’il remet le corps sans vie de Malik Oussekine à l’Institut Médico-Légal, l’ambulancier a ces mots : "La machine à réécrire l’Histoire est en marche". Peut-être, toujours est-il que la version édulcorée servie dans un premier temps n’aura pas fait long feu. Aujourd’hui, c’est bien la notion de bavure policière qui reste attachée à cette funeste affaire. En marge des manifestations étudiantes de décembre 86, Malik Oussekine, […]