Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Le port de la Lune 2. Le miroir d'eau

04/03/2013 3587 visiteurs 6.0/10 (1 note)

L e service dans lequel travaille Maya Lipman, une inspectrice sourde, œuvre sur trois affaires qui ont deux points communs : les agents sont complètement dans le brouillard et les différents protagonistes, totalement insaisissables, sont tous domiciliés au même immeuble. De son côté, Maya apprend la mort de Sam, un SDF qui, quelques jours auparavant, dans un état d’affolement important, lui avait parlé d’une femme morte qui s’adressait à lui d’une tombe. Le jour de son décès, le sans-abri se trouvait sur un chantier, s’acharnant sur une plaque de béton.

Dans le premier tome, Eric Corbeyran et Bénédicte Gourdon avaient habillement titillés la curiosité des lecteurs. L’insertion de planches toutes noires parcourues d’une silhouette fantomatique qui découvre progressivement qu’elle est enfermée dans un coffre de béton y étaient bien évidemment pour quelque chose. Cet élément, qui offrait de la tension à un récit masquant ses intentions, va être rapidement dévoilé, privant cette suite de cet aspect un peu plus « électrique ».

Car, il n’est toujours pas question d’enquêtes alternant les courses-poursuites, les cascades et les fusillades. Ne cherchez pas non plus le regard millimétré de scientifiques capables de repérer un cheveu blanc sur une peau d’ours (devinez la couleur…). La narration fait place à l’humain, aux discussions entre collègues, à l’instinct, à l’observation ou encore la ténacité. Habillement agencé, avec des surprises et des rebondissements qui s’enchaînent logiquement et des personnages intéressants, ce second opus ne laisse pas place à l’ennui. Le dessin réaliste de Horne Perreard est en adéquation avec les caractéristiques mises en avant par les scénaristes : pas d’esbroufe, beaucoup de sobriété, de simplicité, d’humanité.

Une conclusion tout à fait réussie pour un diptyque qui mérite que l’on s’y intéresse.

Par O. Vrignon
Moyenne des chroniqueurs
6.0

Informations sur l'album

Le port de la Lune
2. Le miroir d'eau

  • Currently 3.82/10
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6

Note: 3.8/5 (11 votes)

Poster un avis sur cet album

Votre note :
Vous devez être connecté pour poster un avis sur le site.

L'avis des visiteurs

    kingtoof Le 28/05/2019 à 21:54:19

    Excellent diptyque !
    Une enquête très intéressante menée de mains de maîtres par Corbeyran, Gourdon et Horn.
    L'histoire met en scène une héroïne sourde, inspectrice de police, confrontée à une histoire complexe de trafic humains en lien avec un immeuble qui recèle de nombreux mystères autour de l'énigmatique Ana Spitz.

    pysa Le 30/10/2017 à 19:40:20

    Maya Lipman, inspectrice de police sourde, enquête sur une femme retrouvée enterrée vivante devant la place de la Bourse. Les dessins de Horne mettent bien en valeur la belle ville de Bordeaux. L'intrigue d'Eric Corbeyran et Bénédicte Gourdon est intéressante mais parfois confuse.