L
e secret des Trebaldi n’est plus et avec lui le Scorpion !
Ce douzième opus met fin à la coopération du duo Desberg & Marini qui, depuis près de vingt ans, veille sur la destinée du faiseur de reliques, pilleur des cœurs et, à ses heures perdues, redresseur de torts.
Les vieux couples ont leur histoire sur lesquelles eux seuls peuvent revenir. Quoi qu’il en soit, ce dernier album scelle la fin de leur héros et si celui poursuivra certainement ses pérégrinations, il ne saurait en être qu’autrement.
Avec le temps, Enrico Marini a acquis une maîtrise telle qu’il aborde désormais son dessin non pas avec un souci de précision mais d’expression et même si, pour certains, le trait perd en minutie, il faut convenir qu’il conserve une dynamique et une expressivité jusque dans sa mise en couleur qui est la marque de la maturité. Quant à Stephen Desberg, en scénariste avisé, il prend soin de refermer consciencieusement toutes les portes, tout en veillant à bien laisser une fenêtre ouverte !
Ainsi, s'achève dans le sang et la traîtrise une aventure longue de douze albums qui a su fortement contribuer à la renommée de son dessinateur.
C'est l'exemple typique de l'album de trop malgré le dessin magnifique de Marini. On s'y perd complètement. Les protagonistes ne sont plus crédibles, au contraire des premiers albums tout simplement excellents. Dommage.
J'ai profité de cette période de confinement pour me lancer dans la relecture de l'ensemble de la série.
Et bien, je dois dire que j'ai pris plaisir à découvrir ce dernier volume qui clôt la longue collaboration de Desberg & Marini.
Ce dernier opus se lit assez vite tout de même, mais le dessin de Marini est toujours aussi somptueux.
Cet album vient enfin donner une réponse au fameux trésor des Trébaldi, et ne ménage pas son lot de surprises.
Mais pour autant ce douzième album marque-t-il pour autant la fin des aventures du Scorpion? Sans doute pas.
Sans spoiler, on peut légitiment se projeter vers d'autres aventures (même des" one shot" comme c'est apparemment envisagé), et je serai au rendez-vous.
Une lecture divertissante et de bonne qualité.
C est un bon album mais pas transcendant Je suis d accord beaucoup trop d attente entre 2 Je pense qu il ne faut pas se faire de soucis pour le scorpion ses aventures vont continuer
Bon album.
Rien d'exceptionnel cependant.
Longue attente entre les 2 derniers albums qui fait perdre du crédit à cette série.
L'histoire est soignée mais la profondeur des personnages est superficielle.
Pas aussi ébloui que les autres lecteurs.
En tout cas, absolument pas d'accord avec eux : la série n'est pas terminée. Le scorpion est en mauvais point mais toujours vivant et comme il dit en page 62 "J'ai une affaire à régler, loin d'ici..."
l'un des meilleurs albums de la série selon moi.
mais le fait qu'il close les aventures du Scorpion n'y est certainement pas étranger.
que du plaisir aussi bien au niveau des yeux que de l'esprit
L'attente fut longue mais récompensé par nos auteurs, le scénario est haletant, pas de répit et des surprises de page en page avec un dessin toujours aussi sympa, bravo Messieurs ce fut un vrai plaisir de lire et relire cet album
Après cinq ans d'absence, revoilà LE SCORPION ! Et c'est un vrai régal de le retrouver. Le dessin de Marini est toujours aussi magnifique et le scénario imaginé par Desberg toujours aussi haletant, réservant son lot de surprises, de rebondissements et de révélations. Une recette qu'on a beau connaitre par coeur depuis le début de la série mais qui fonctionne toujours aussi bien.
Pour résumer, rien de novateur, on est dans la continuité des albums précédents. Mais en même temps, quand on frise l'excellence, pourquoi changer la formule ?
Je l’attendais avec impatience ce nouveau Scorpion. Et je ne suis pas déçu ! En plus, Marini et Desberg nous offrent un 64 pages plutôt qu’un 48. Evidemment, il a fallu attendre cinq longues années pour connaître la suite… et c’est long ! Combien d’années avant le treizième et dernier album (d’après ce que j’ai pu lire) ? Et le tome six des Aigles de Rome, M. Marini ?
Concernant « Le mauvais augure », l’album est identique aux premiers de la série, bondissant et plein de surprises. Sa lecture va vite mais j’ai avalé les pages avec gourmandise et délectation comme un mort de faim. Je trouve que Marini a une science du mouvement incroyable qui se manifeste avec brio surtout de la page 31 à 35.
Dans cet épisode, tout semble aller de mal en pis entre Aristote Weindorf dit Le Hussard et le Scorpion. Le Hussard semble désabusé par l’égoïsme du Scorpion mais ce qu’il lui apprend ou plutôt lui suggère en page 58 nous donne le sujet du dernier album.
On sait enfin comment les Trebaldi tiennent les grandes familles. On peut aussi se demander comment tout cela a pu être conservé à travers les siècles.
Quoi qu’il en soit cet album est excellent. Pourvu, pourvu qu’il ne faille pas attendre cinq ans pour connaître la fin. Fin heureuse ? J’espère que Méjaï et le scorpion se retrouveront et plus si affinité…