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a-t-il plus douloureux que de perdre son enfant ? Encore sous le choc, Agnès décide de dédier le reste de sa vie à la lutte contre les parasites responsables de cette perte, ainsi que de celle son amie et ancienne commandante, Gisèle. Malgré les tensions au sein du groupe, la découverte d'un pulvérisateur «extraterrestricide» ressoude les liens en vu de l'affrontement final. Ça va pshitter tous-azimuts !
Rencontre avec le troisième type de la trilogie trashy-comique qui déboule sur les étals. Cette fois, c'est au tour de la belle Agnès, fraîchement désignée cheffe, d'être mise sous les projos. Le casting s'étoffe, mais l'intérêt reste braqué sur le petit noyau dur du début. Les rebondissements s’enchaînent sans faille, alternant les scènes teintées de cynisme, de violence gore et de suspense jusqu'au dénouement assez déroutant (et abrupt) qui ne peut qu'appeler à un nouveau cycle, sinon le lecteur portera plainte pour avortement d'histoire ! Si le ton se durcit et fait grincer les gonds, l'humour limite diminue, bien que Duke se révèle toujours aussi lourd et détestable. Au fait, ils sortent d'où, ces êtres à pattes ? Vous ne le saurez pas car de nombreuses questions restent sans réponses.
Égal à lui-même, le graphisme typé gamer fait le job grâce aux trombines sympathiques et aux couleurs vitaminées. Les effets visuels accompagnent la fluidité de l'intrigue.
Bilan : une série déjantée qui a bien tenu la route. Néanmoins, elle laisse sur sa faim : la scène ultime appelle à corps et à cris une suite !
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