- quatre-vingt-seize planches,
- deux cases par page,
- une douzaine de fellations,
- deux cunnilingus et autant anulingus,
- une bonne dizaine de cravate de notaire,
- quelques séquences en solitaire,
- des levrettes à profusion,
- un nombre conséquent de variations pour un missionnaire !
- ...
Et toujours pas de raton-laveur !
Alors, s’il n’est pas fait abstraction d’une mise en couleur limitée, d’un dessin des plus simplistes, de dialogues insipides, d’un scénario plus tenu qu’un string brésilien et une accumulation de coïts champêtres qui laisse à penser que l’Homme descend bien du singe et plus particulièrement du Bonobo, il n’y a aucune raison de garder Jardin d’Eden dans sa bibliothèque après l’avoir lu.
À oublier !
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