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ésormais, l’existence des mégalodons, n’est plus un secret. Toutefois, pour continuer son business comme si de rien n’était, le trust Carthago décide de faire sauter la caverne d’Arunkulta. Pendant ce temps, Wolfgang Feiersinger part sur la trace de l’Atlantide et Lou renaît à la vie…
La Cité de Platon, cinquième volet de la série créée par Christophe Bec, clôt le second cycle initié avec Les monolithes de Koubé.
Efficace dans son traitement, cet album joue cependant toujours des mêmes registres. Après avoir fait renaître des profondeurs du Miocène le plus féroce des prédateurs marins, voici que la mythologique Atlantide surgit du fond des âges, prémices de développements futurs où les voix de certaines devraient se faire, à nouveau, entendre…. Pour maintenir le rythme, et diversifier les plaisirs, thriller techno-écologique et romance sous-marine viennent compléter l’ensemble et constituer autant d’histoires dans l’histoire. Pour mettre en page cette matière, Christophe Bec utilise un découpage qui n’hésite pas à sillonner la planète avec une facilité déconcertante et indispensable à ce type de récit dont l’intérêt réside dans la démultiplication des terrains narratifs et des séquences parallèles. Le montage est ici, comme pour les films d'action, plus important que les dialogues ou le graphisme de Milan Jovanovic.
Parfaitement maîtrisé, Carthago, offre ce que l’on attend de lui, du grand spectacle, mais sans vraiment se renouveler. Est-ce suffisant ? Chacun en jugera en fonction de son degré d'exigence.
Un second cycle se termine et une nouvelle fois, il reste beaucoup trop d'interrogations et de mystères non-résolus. Et puis l'intrigue aborde des thèmes beaucoup trop disparates (le Mégalodon, le Yéti, l'Atlantide, les Atlandes, la conquête de l'espace par l'URSS ...). Ca part dans trop de directions différentes, on s'y perd. Malgré un dessin peu impressionnant et une narration beaucoup trop hachée, je pense tout de même poursuivre la lecture de cette série, même si j'avoue que l'intrigue me motive de moins en moins.
Après un 1er cycle que j’avais beaucoup aimé, j’étais impatient de me re-plonger dans la suite de cette belle série.
Si je dois bien admettre que ce 2nd cycle est moins prenant que son prédecesseur, je trouve quand même qu’il vaut le coup d’oeil et qu’il mérite que l’on s’y attarde.
Les dessins de Milan JOVANOVIC font honneur à ceux d’Eric HENNINOT et le scénario reste tout à fait plaisant.
Une bonne série qui continu avec un 3eme cycle pour mon plus grand plaisir.
Ça se traine d'albums en albums.
Le 1er partait sur une bonne idée, le 2ème la développait, le ... 5ème est franchement insipide.
Un mégalodon ici, un liopleurodon là. Il ne manque que la Sainte Vierge et le Père Noël !
Il est temps de mettre fin à cette série.
Que dire...? bon pour commencer une histoire qui part sur un monstre, après sur un requin, après sur une cité, je n'en dit pas plus, mais le cinquième album et lent, moue, bref je me suis un peut ennuyer, mais les dessins son très jolie. ( comme d'ab )!
et on par sur un troisième cycle. même si je trouve ça long, je veux quand même voire la suite.
En tant que fan, je vais être moins sévère que les autres critiques...
Je trouve ce 5ème tome nettement plus aboutit que le précédent.
J'ai l'impression d'y voir plus clair ! Avec de nouvelles pistes...
C'est un bon album.
Ça part dans tous les sens ! La lecture de cet album est vraiment fastidieuse. Sans intérêt, sont les mots qui conviennent le mieux.
J'abandonne la série suite à la lecture de ce tome : rythme et découpage sont trop similaires à d'autres séries de l'auteur (oui, je sais, c'est sa marque de fabrique, mais j'ai trop souvent l'impression de lire la même chose), et les mystères très mystérieux sont également trop proches d'autres séries dans leur introduction et révélation (Bunker, Prométhée, Sanctuaire, entre autres).
L'attrait de cette narration hors norme n'est plus là, et à force de lire les mêmes schémas narratifs, il est temps pour moi de passer à autre chose.