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’Edika nouveau est arrivé. Et qu’y a-t-il au menu cette fois ? Mezzé Falafel. Ça promet…
Dans le désordre le plus total, que trouve-t-on ici ? De l’absurde (tout plein), de l’humour drôle (souvent), de l’humour pas drôle (parfois), des chutes (aux abonnées absentes) et des transitions (un peu rudes). Le tout présidé par Clark Gaybeul en personne, s’il vous plaît !
Évidemment, après 36 tomes, Edika prêche les convaincus, ceux qui ont biberonné au Fluide Glacial et qui en redemandent. Les inconditionnels seront fidèles au poste, c’est sûr. Les autres ? Pas certain qu’ils prennent le train en marche, mais le but n’est sans doute pas là. En attendant, il n’y a pas de mal à se faire du bien. À petites doses, pour retrouver le rythme du magazine. Celui qui lui convient le mieux, probablement.
Edika, Edika nous touche par son graphisme délirant en NOIR et BLANC ! J'adore, alors la couleur...Pourquoi pas, mais là je trouve qu'il manque un peu d'audace et de bon dialogues délirants. Un manque d'inspiration, une réaction timide face à "sa" colorisation? En tous cas je l'invite à voir grand: "Plus c'est gros, plus sa passe!" Vas-y Edika, suis Fan!