L
’agence de Fourmille est criblée de dettes et la banque menace de la saisir sous quinzaine. Pourtant, un autre problème encore plus urgent va accaparer la jeune femme. Partie à Barcelone pour donner un spectacle dans un grand club de la ville, Grace a été arrêtée pour vol d’œuvres d’Art. Avec Yuri et Sigisbert, le Preshaun attaché à sa surveillance, elle va mener l’enquête pour innocenter son amie. Très vite, l’affaire prend une tournure étonnante, l’esprit de Fourmille étant occupé par un chat.
Voilà, ce que l’on pouvait craindre à l’issue du tome précédent c’est produit : une nouvelle ville, une nouvelle investigation, une Fourmille hantée par une personne disparue, bref du déjà-vu. Bien sûr, la promenade est sympathique. Il y a évidemment le dessin d’Alessandro Barbucci toujours aussi pétillant, vif et sensuel. La narration s’appuie encore sur des références et autres clins d’œil exposés sur un ton vif et enjoué. Christophe Arleston prend à nouveau un malin plaisir à mettre son héroïne dans des situations pas possibles, voire même des positions improbables puisque la voilà possédé par un chat. L'occasion est alors donnée de constater que les rondeurs de l’accorte demoiselle ne nuisent pas à sa souplesse…
L’intrigue reste quant à elle toujours aussi peu épaisse et n’offre finalement qu'un intérêt relatif, un dessein plus grand faisant défaut. La découverte des grandes villes de ce monde-miroir (le final annonçant une visite à Rome) n'atténue pas le regret découlant de l'absence d'un véritable fil conducteur.
Comme avec certains vins rosés d’été, ce n’est pas désagréable mais pas marquant. Quelque chose de plus corsé à présent pour retrouver le goût de trinquer ?
Dans ce quatrième tome, nous sommes transportés à Barcelone où Fourmille et Yuri se retrouvent pour cette nouvelle intrigue.
Je ne pense pas que ce soit le meilleur de la série.
Cet opus propose un scénario plutôt moyen, axé sur une enquête policière concernant la disparition de jeunes femmes. De plus, un chat va venir habiter l'esprit de fourmille, j'ai trouvé cette idée peu intéressante.
Les répliques de nos partenaires sont bien moins divertissantes.
Cependant, ce scénario va nous permettre de progresser dans la suite de la saga sur le mystère des Preshauns.
Le dessin reste toujours aussi impressionnant.
Une belle progression sur la force de l'intrigue secondaire, malgré la contrainte qu'elle doive se conclure en un tome.
Les auteurs ont trouvé l'équilibre entre un monde fascinant à décrire et à découvrir, les personnages et l'intrigue secondaire.
Petit bémol, le découpage (ou le storyboard) des scènes d'action (surtout la dernière) est presque ratée. Certaines ellipses maladroites cassent le rythme, voir décrédibilisent la scène.
Cela reste plaisant, sans être addictif. Mais on voit quelques étincelles prêtes à déclencher la passion.
C'est clairement pas mon préféré...
l'histoire principale n'avance plus, uniquement l'enquête menée par fourmille.
le scenario reste sympa mais le personnage de Dali m'énerve...
vivement la suite
Nouveau tome, nouvelle ville, nouveau « meurtre » et, en gros, même schéma : une star connue (Dali) et une enquête parce que l’agence est dans le pétrin…
Les dessins restent magnifiques, c’est vrai, mais il y a une habitude dans l’histoire qui rend l’ensemble un poil lent, inintéressant…
Aucune évolution dans les personnages – on a droit à notre engueulade entre les protagonistes principaux à chaque fois – et les situations se ressemblent de tome en tome…
Alors oui, c’es original, les fées dans la bulle mais le chat qui est mort/pas mort, j’ai pas trouvé ça palpitant et ce ne sont que les décors magnifiques qui m’ont tenu sur l’histoire…
C'est du Arleston, de la BD jetable pour ados pré-pubères.
Le scenario n'a aucun intérêt ni aucune consistance.
(l'étoile attribuée est pour le dessin)
Passez votre chemin.
Le dessin de Barbucci est toujours aussi joli que dans le 1er tome. Mais le scénario, même si l'histoire progresse plus vite (trop ?) cette fois, reste un peu plan-plan.
Cet album, meilleur que le précédent, se lit bien... mais la magie a, pour moi, complètement disparu.
Au regard de la couverture, vraiment peu amène, le pire était à craindre.
Et finalement, c'est un bon album, bien meilleur que le précédent. Les dessins sont toujours au top avec quelques petites faiblesses dans les dernières planches mais le scénario, cette fois, tient la route.
Mais me concernant, il est bientôt temps de conclure cette série qui risque de s'enliser et finalement de lasser.
7/10