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urango a enfin obtenu l'information qu'il voulait et fait maintenant route vers sa destination afin d'assouvir sa vengeance. Il n'est pas le seul à suivre cette piste et à se diriger en direction du siège de la Lawrence Mining Company. Un homme poursuit le même but. Dans ce genre de confrontation, l'issue de la rencontre est toujours incertaine et souvent fatale pour l'un des protagonistes.
El Cobra clôt l'histoire commencée dans le tome précédent Un pas vers l'enfer. Autant cette dernière paraissait bien fade et manquait d'envergure comparée aux albums précédents, autant celle-ci permet de retrouver un Durango au meilleur de sa forme et une intrigue digne des grands westerns. Pour autant, l'action n'en est pas le maître mot. Même si l'ouverture est sanglante, elle sert surtout à poser rapidement les bases de la personnalité d'El Cobra afin de mesurer pleinement la portée de cet affrontement. Le récit trouve toute sa saveur dans la préparation du duel entre ces deux fines « gâchettes ». La phase d'observation permet à chacun de jauger l'autre, de cerner ses faiblesses. Le héros a enfin trouvé un adversaire à sa mesure, aussi rapide, aussi habile et surtout sans scrupules. Fini le temps où le célèbre gaucher pouvait jouir de son anonymat dans la « profession », il lui faut maintenant assumer son statut de légende, faire face à ses admirateurs, mais surtout face à ceux qui souhaitent se faire un nom en ayant descendu le grand Durango.
La reprise par le dessinateur de Wanted fut la bonne surprise de cet excellent western. Avec ce second album, Girod confirme son talent, à la fois pour suivre les traces de Swolfs, mais également dans l'illustration de cette période de la conquête de l'Ouest. Son dessin respire la poussière, la poudre et le sang. Son trait est d'une grand efficacité dans le genre, les femmes sont belles, les méchants antipathiques et les duels très rapides. L'ensemble très soigné ne souffre d'aucun défaut, qu'il s'agisse des décors, ou des expressions des personnages, et le résultat est d'une grande cohérence, l'immersion au XIXe siècle totale.
El Cobra est un bon cru dans la série Durango et le classicisme de l'intrigue n'enlève rien à la manière dont Swolfs en assure le parfait déroulement. Les fans du célèbre pistolero seront rassurés avec ce duel au sommet.
3/5 car le dessin, la couleur, et le découpage ne sont plus ce qu'était Durango.
La case qui reprend la couverture :( limite moche
Mais Girod sait dessiné les femmes ça c'est sûr. Du reste ....
Durango de plus en plus sombre part sur les traces des commanditaires.
Un tome qui démarre sur les chapeaux de roues pour installer son intrigue ensuite, ce nouvel ennemi argentin El Cobra est redoutable.
Dommage le duel de fin est raté à mon goût !
Heureusement le scénario suit !!
Pas mal...mais Le Cobra pour moi est loin d etre l enemi qu aura rencontrer Durango...une bonne bd . j'ai hate a la suite on sens que sa va se developper entre Steiner et Durango...qui est ce type? un album qui met la table en d autre mots...
Durango poursuite sa quête pour venger le meurtre de Célia et remonte petit à petit vers le commanditaire principal en croisant à chaque tome un tueur qui ne rêve que de l'épingler à son tableau de chasse. Cette fois ci le tueur vient du sud et supporte mal le froid, ce qui le perdra. Girod est toujours parfait au dessin, ses décors sont superbes. Le scénario de Swolfs est digne du western spaghetti avec de fortes réminiscences de "Il était une fois dans l'ouest". Si ce n'est donc pas très original, c'est très agréable à lire.
Voiçi le 15ème tome des aventures de Durango que j'attendais avec une grande hate, et je n'est pas était déçut.
Meme si Swolfs est mieux au dessin que Girod, il n'empéche que l'histoire est toujours génial, vraiment bonne cette suite au premier dessiné par Girod.