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’essayons plus de résumer les précédents épisodes : par un cheminement qu'aucune personne normalement constituée n’arriverait à expliquer, Lanfeust retrouve Cixi mais seize ans les séparent désormais, et ils ont même un fils de cet âge. Grâce à la bactérie qu’il a ramenée, ils vont pouvoir attaquer le prince Dehluu, ou plutôt l’infâme E.T. polymorphe qui a pris sa place et qui ambitionne de mettre l’univers sous sa coupe. L’occasion est donnée de réunir toute la troupe, qui s’était sérieusement dispersée depuis deux tomes, et de redonner un bon coup de fouet à la série.
Distrayantes mais loin du niveau du premier cycle depuis un bon moment, les aventures du rouquin surpuissant ont repris des couleurs depuis les dernières pages de
La Chevauchée des Bactéries . Ce sixième épisode confirme la tendance : le retour salutaire d’Hébus, la part belle laissée à l’aventure plus qu’aux situations comiques désordonnées, le sentiment qu’enfin il y a un sens à tout cet imbroglio… l’amateur est comblé !
A première vue, pas vraiment de différence majeure, impression confirmée par un graphisme toujours aussi agréable, que ce soit pour le dessin ou les couleurs, sensiblement supérieurs aux dizaines de copies qui paraissent chaque mois. Pourtant, au fil des pages, se dégage imperceptiblement une sensation d’amélioration. Un peu plus de simplicité dans l’histoire, un peu d’humanité et de profondeur habilement gagnées en faisant vieillir tous les personnages, un Lanfeust étonnant dans son nouveau rôle de père d’un ado en pleine crise… autant de nouveautés qui au lieu d’alourdir encore l’ensemble, lui confèrent la légèreté qui devenait indispensable pour aller au bout.
En pleine forme, Arleston se permet même de finir sur un cliffhanger un peu facile, qui aurait agacé en d’autres circonstances, et qui ici, donne précisément l’élan nécessaire pour patienter encore douze mois. Ils ne sont pas toujours aussi inspirés, mais quand les auteurs sont à ce niveau-là, on en redemande volontiers !
Un tome intéressant à plus d'un titre.
On en apprend un peu plus sur les origines de la machination des pathacelces. Et cela donne un peu plus de consistance à toute cette histoire, qui dans les grandes lignes tient quand même très bien la route.
Sur la deuxième moitié cela s'accélère de manière inattendu pour terminer sur un solide cliffhanger.
Ce n'est pas le meilleur tome de la série dans son écriture mais il a le mérite d'être passionnant de bout en bout.
Un album plutôt sympatique où l'action et l'aventure prennent une place de plus en plus importante au détriment de l'humour qui était très sympa dans Lanfeust de Troy mais commençait à devenir lourd dans cette série. Cependant l'absence de plus en plus importante de l'humour fait perdre un petit quelque chose à la série qui fait que l'on accroche moins même si c'est encore loin d'être mauvais. De plus les goût évoluants, Lanfeust des étoile n'est pas une série que l'on aborde de la même façon de Lanfeust de Troy en son temps d'où une baisse d'intérêt de la part du lecteur vieillissant.
Pourquoi tant de haine.
Je ne suis pas d'accord avec la majorité des notes négatives, cet opus est très réussi, on ne senlise pas dans une série qui revisite le avant lanfeust ou après lanfeust.
Mais on change de repère et on garde les ingrédients comme l'humour et les dessins !
Ce n'est pas rien tout de même, exploration de nouveaux horizons graphiques (vaisseaux, bestiaires...).
Une grande série même si ce n'est pas un chef d'oeuvre !
Je dois bien dire que mon intérêt pour les sagas de Lanfeust commençait à s'émousser mais j'ai été agréablement surpris par cet album. Il y a de nombreux rebondissements, le paradoxe temporel crée de nouvelles situations. A côté des vannes potaches, il y a un vrai souffle épique de saga, comme dans un vrai Space Opera avec une guerre galactique sur écran géant : j'attends l'étoile de la mort au prochain épisode !
P..., c'est, en bon québécois et désolé du gros mot, chrissement débile comme
tome. Thanos nous reviens en bon pirate des premiers Lanfeust, l'intrigue est de
plus en plus là. Le scénario est magnifique et le dessin est plus qu'un exemple.
Inbatable comme tome, je sens que je vais aimer les prochains, si ça continu, je
vais mettre cette série dans mes préféré et en premier rangs. Les pirates sont
sensationels, les pathacelces magnifiquement cruel et Thanos, comme je l'ai dit
est à son meilleur point. Je suis heureux qu'il ait pas crevé car sa rajoute du
piquant dans la sauce.
Mon préféré de tout les Lanfeust des étoiles avec "les sables d'Abraxar".
Où sont passés les inspirations des quatre premiers lanfeust de Troy