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arrison Banks, capturé par son sosie et le Pr. Seed, est livré aux autorités de Golden City qui décident de le faire disparaître. Mais Mifa parvient à convaincre la tueuse à gages de s’associer avec elle pour le sauver tout en touchant la prime du "contrat". Le dénouement est proche.
Dès son lancement en 1999, Golden City s’est immédiatement imposée comme une série majeure, devenant en quelque sorte l’emblème du label série B chez Delcourt. Au programme : couleurs chatoyantes sur un graphisme épuré, et scénario hyper efficace, mélange de SF écolo et de suspense hitchcockien. Au rythme d’un album par an, Pecqueur et Malfin ont donc tenu les lecteurs en haleine et imposé bien des tourments à leur héros Harrison Banks, à commencer par une des coiffures les plus improbables du paysage BD actuel.
Ce sixième épisode, qui clôt le premier cycle et célèbre opportunément les 10 ans du label, était donc fortement attendu. Surtout qu’après quatre premiers tomes haletants, presque exclusivement tournés sur les péripéties du héros, le cinquième épisode avait marqué une rupture en apportant certes les réponses à de nombreuses questions, mais en atténuant sérieusement le rythme au grand dam des amateurs d’action pure. Leurs sentiments risquent d’être également mitigés avec cette conclusion. L’action est bel et bien de retour, mais de façon un peu discontinue, avec notamment des scènes qui semblent un peu déplacées ou superflues (mystère du Chacal, personnages liquidés…). Par ailleurs, des situations délicates trouvent leur solution bien vite, comme s’il avait fallu absolument en finir cette fois.
On en demande toujours plus quand on aime, mais c’était peut être aussi une bonne idée de ne pas risquer d’en faire trop. Avec cet album s’achève donc le premier cycle d’une série passionnante et indispensable pour tous les amateurs de science fiction.
Cette série est fluide par un dessin coloré, simple mais tout en mouvement...Le scénario est original avec un jeune homme séducteur mais qui semble l'ignorer, des héroïnes plutôt viriles et des pré adolescents matures...Golden city flotte (pour l'instant) sur des eaux tranquilles, et les opus se suivent à un bon rythme sans essoufflement...J'ai pris beaucoup de plaisir à lire les 6 premiers tomes qui sont cohérents, animés et qui ne manquent pas de rebondissements...
Final somptueux quoiqu'un peu trop rapide.
Toujours autant d'action dans cette série qui restera comme l'une des toutes meilleures.
Les dessins restent excellents.
Vivement le deuxième cycle.
9/10.
Voiçi la fin du premier cycle ou l'on a droit à toutes les révélations sur le faux assassinat de Jessica, et comment elle s'est intoduite auprès de Banks, ainsi que l'arrivé du clone en PDG.
Une série très réussie comme je les aime.
Une série découverte par hasard. J'ai essayé le premier tome, décidé de continuer. L'intérêt ne fait qu'augmenter au fil des épisodes, et arrivé au dernier de ce premier cycle, je dirai que c'est très bon. Le dénouement est parfait, Harrison qui, comme les enfants, lui aussi trouve que son monde parfait n'est pas si parfait. Dessin et couleurs, bravo, très bien recherché. Une belle série, à suivre, en ce qui me concerne sur un deuxième cycle
Excellente conclusion du premier cycle d'aventure. Superbes couleurs, très bons dessins, scénario prenant, une excellente série!
Le volume 6 termine bien la première épopée. Les paysages et les couleurs sont splendides. Les actions s'enchainent et l'on sent poindre une suite avec peut-être un personnage important réincarné, le chacal. En attendant, quelle classe !
j'aime beaucoup le dessin, ce style épuré et ces couleurs me conviennent tout à fait.
Ce tome est clairement un album de clôture : le dénouement explique bon nombre de points restés obscurs et révèle tous les dessous de l'affaire. Même s'il y a beaucoup de flashbacks, le rythme de narration n'en souffre pas et il y a toujours assez d'action!
Il parait que Golden City est la série "phare" du label Série B. Même si je l'aime bien, elle ne vaut pas Carmen McCallum !
Je ne l'ai lu que pour connaître la fin du 1er cycle, car pour moi c'est une série moyenne. J'ai trouvé le scénario un peu décousu et la conclusion trop rapide. On obtient bien des réponses, mais des tas d'éléments passent à la trappe, de même que plusieurs personnages. Côté dessin, il est bien sans le petit plus qui pourrait vraiment me le faire apprécier, mais je crois que mon impression a été biaisée par certaines couleurs assez laides comme le jaune de la peau des personnages d'origine asiatique qui était trop jaune (c'est un exemple).
Plutôt mitigé donc.
Une fin vraiment décevante, trop hachée, trop d'éléments sont dévoilés sur les
dix dernières pages. De plus que sera le prochain cycle étant donné, encore
des rebondissements. Je trouve également que les magnifiques illustrations de
malfin et mises en couleurs de Schelle ont été massacrées à l'impression, en
effet aucun trait n'est lisse tout est dentelé, les couleurs font sales (problème
de trame ?).
Et voilà l'album qui clot le premier cycle de la meilleure série du label série B de Delcourt, label lancé il y a 10 ans (on le saura, vu le matraquage marketing qu'il y a derrière !!). Cet album répond à de nombreuses questions qui restaient sans réponse jusqu'à présent. On comprend mieux ce qui a poussé le clone d'Harrison Banks à prendre la place de ce dernier, sans aucun scrupule : l'amour, toujours l'amour! Il y a énormément d'action dans cet album, on ne s'ennuie jamais à sa lecture. Ca traînait en longueur, depuis 2 ou 3 albums, mais là pas de temps mort, que du bon ! Mais je tire surtout mon chapeau au dessinateur et aux coloristes qui ont réalisé un travail magnifique. J'aime beaucoup le passage où Harrison et celle qui cherche à l'éliminer depuis le début, pour nourrir son fils, se retrouvent dans un jeu obscène à la running man, et doivent éviter une multitude de pièges pour sauver leur peau. Les dessins sont très réussis, très rythmés. Une série dépaysante, dont je comprends le succès tant il est mérité.