L
e grimoire de Venoncius (pivot de l’univers des Stryges, puisque présent dans chaque série) a été récupéré par Debrah au profit d’Abeau et Cylinia. Mais Reese a survécu et est bien décidé à le récupérer avant même que Debrah ne le livre aux rivaux de Sandor Weltman, sur lequel on va enfin en apprendre un peu plus. Pendant ce temps, Nivek est prêt à tout pour revoir et sauver Melly.
Richard Guerineau est un peu le Michael Bay de la BD : rien de tel qu’une scène d’action ponctuée d’explosions pour lui donner un moral d’enfer. Ce neuvième tome épisode est donc conforme aux précédents sur cet aspect : réaliste, précis, et efficace avant tout ! A la rigueur si le grand format confère un plus grand prestige à la série, il n’est pas certain qu’il profite réellement au graphisme : les imperfections se voient plus, notamment sur les visages dans les plans larges.
Les titres dans les séries à rallonge ne sont pas toujours importants (c’est même rarement le cas pour les Stryges) mais celui-ci aura forcément tapé dans l’œil du lecteur assidu : Révélations. Corbeyran se serait-il décidé à lâcher du lest, quand on trouvait justement les tomes précédents bien avares en informations ? Il serait injuste de prétendre le contraire, même si on n’a pas l’impression d’avoir avancé beaucoup à la fin de l’album. Au risque de décevoir ceux qui lui reprochaient de traîner en longueur, la série se radicalise en satisfaisant avant tout ses fans les plus convaincus. Ses personnages les plus marquants n’en finissent plus d’échapper à des blessures mortelles, les invraisemblances (en dehors du concept même des Stryges) se multiplient. Par ailleurs, Corbeyran réussit à rajouter du mystère et du suspense là où on l’attendait pas : le personnage de Debrah devient de plus en plus intéressant.
Certains verront dans cet album un détour de plus pour retarder un dénouement qui devient de plus en plus improbable. Mais ceux qui aiment en redemandent ! Un souhait pour le prochain épisode : un peu plus de présence de Kevin Nivek, le héros palindrôme, et surtout des Stryges !
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Révélation... Tel est bel et bien le contenu de cet album !
L'Ombre apprend la vérité sur le fameux personnage de Sandor G. Weltman et sa relation avec les Stryges. Des révélations inattendues et surtout incroyables mais à priori, véridiques. De son côté, Nivek et Jillreussissent avec une certaine difficulté à convaincre le père de Melinda de l'existence des Stryges et consent à collaborer avec eux. Beaucoup d'action dans cet album et toujours une excellent maîtrise du scénario de la part du sieur Corbeyran, on a toujours hâte de lire et découvrir la suite des événements!
N.B : je rejoins les avis de mes confrères lecteurs sur le choix des couleurs... Je ne suis, certes, pas contre l'utilisation de la technologie mais rendre certains effets plus "vivants" si j'ose utiliser cette expression, mais là franchement... J'ai eu du mal. Pourquoi ne pas revenir aux premiers tomes, tout y était parfaitement bien ( je ne dis pas qu'il n y avait pas matière à s'améliorer )
La qualite des illustrations est en baisse dans cet album peut-être du au changement de coloriste (?).
Le scénario s'éloigne un peu du premier cycle avec apparition de scénes de violence. On se croierait plus dans une série d'espionnage que de fantastique.
Bref une petite déception.
6/10.
Pourquoi ont ils fallut qu'ils changent à nouveau de coloriste.
A part se petit point négatif auquel ont s'y habitue, l'histoire est de plus en plus passionnante, on connait presque l'identité de Sandor Weltman et son lien avec les stryges.
Les Stryges, qui n'ont pas apparu dans le précédent album, reviennent cette fois, avec des révélations sur eux, bien qu'il n'y ait rien jusqu'à présent de vraiment exceptionnel. J'ai bien aimé la découverte que leur ADN contient une base en sus par rapport à celles des humains. Sinon, on y apprend plus sur Sandor Weltman, dévoilant, à petites doses, certaines zones de mystères. Si j'ai adoré cet album, force est de constater que l'histoire n'avance que lentement (parfois trop lentement peut-etre), mais les scènes d'action et l'intrigue font de cet album une histoire prenante.
Un tome marqué par la venue d'un nouveau coloriste. Déjà, j'avais moyennement apprécié la précédente et là c'est encore pire. On imagine bien les impératifs commerciaux derrières, ceux consistant à sortir des tomes de plus en plus vite. Je plein le dessinateur, qui ne voit pas son travail aussi bien mis en valeur comme dans les 1er tomes. Ensuite, si on apprend pas grand chose, la lecture reste plaisante, sans être très marquante. A noter des scènes d'action délirantes (les héros se sortent de situations embarrassantes de manière complètement irréalistes), montrant la paresse de l'auteur (car on sait qu'il a du talent et de l'imagination...).
Avant la sortie du tome 10, j'ai voulu relire le vol 9. Le scénario et les personnages m'ont semblé un peu statiques. J'aime moins les ambiances dégagées par les couleurs de FAVRELLE. J'attends malgré tout "manipulations" avec une certaine impatience en espérant un vrai démarrage de la saison 2 car j'aime cette série.
Révélations... voilà le titre de ce neuvième album de la série (qui doit en contenir 18 à ce jour) mais quelles sont les révélations ? Où sont elles ? Car à part des éléments déjà suggérés dans les précédents ou des points tellements évidents qu'il n'était pas nécessaire de les mentionner. Bref l'histoire n'avance pas vraiment. Heureusement qu'il y a le côté action et les personnages pour rendre tout ça un tant soit peu intéressant car sinon il n'y aurait rien pour sauver cet album.
La bataille pour la possession du grimoire de Venoncius, que Debrah s’était appropriée dans le tome précédent, continue avec d’un côté Abeau et sa sœur Cylinia et leur mystérieux commanditaire et de l’autre, le milliardaire Sandor Waltman.
Parallèlement à cette quête pour le grimoire que se livrent Debrah et les agents de Waltman, Nivek et Jill décident de prouver au professeur Chapman (qui détient toujours sa fille Melly) que les Stryges existent en faisant analyser l’ADN d’une plume de Stryge.
Le Lieutenant Reese laissé pour mort, Nivek prend une balle dans l’épaule et Debrah dans le genou, mais pas de panique pour la suite des aventures car ils retrouvent la grande forme d’ici la fin de l’album car nous ne sommes qu’à la moitié de cette série prévue en 3 cycles de 6 tomes et Corbeyran a apparemment encore besoin de la plaine capacité de tous ces personnages afin de poursuivre son aventure.
On en apprend pas mal sur Sandor G. Weltman dans ce tome et en plus on a enfin droit à l’apparition d’un Stryge dans ce deuxième cycle : pourvu que ça continue !
Mon avis sera sur toute la série jusqu'au 9eme tome (dernier paru quoi ! :)).
J'ai bien aimé la premiere saison (on peut dire 8/10 si il existait un volume saison 1 intégrale) mais la deuxieme, surtout le tome 8, c'est décevant, avec des situations loufoques tellement elles sont improbables, personnellement je pense que les persos principaux si ils n'etaient pas juste les héros pour continuer le récit seraient déja réduit en tas d'humus depuis belle lurette !
J'espere que la situation va se redresser dans le tome suivant, et qu'ils auront de nouveaux une "valeur utile" qui puisse logiquement les laisser en vie. Enfin le 9 est moins ridicule (bon j'admets que "ridicule" c'est un peu fort quand meme mais bon c'est l'idée ;) ) que le 8 c'est déja ca de pris.
Aaahhh... Je retrouve le bon Chant des Stryges avec ce tome 9. J'ai l'impression que le "truc" qui faisait toute la splendeur des débuts de la série est enfin de retour. Désormais, je reprendrai bien un peu de tome 10 pour le dessert ;-)