L
e diptyque Magie Noire / Magie Blanche a enfin fait sortir Niklos Koda de son manichéisme bon teint. Pour vaincre Kandar, le mage noir, il a lui même franchi la ligne interdite en invoquant un esprit, et sera jugé par le club Osiris des magiciens auquel il appartient. Pendant que ceux-ci se réunissent à Barcelone, la fille de Koda est enlevée, et en voulant le prévenir, Aïcha Ferouz, directrice parisienne du Bureau, est victime d'un attentat.
Niklos Koda est la série des fausses pistes par excellence. Sans pour autant s’y révéler aussi brillant que dans certaines de ses nombreuses séries, Dufaux s’en sert comme d’un terrain de jeu ou d’expérimentation, pour y tromper en permanence le lecteur. Tel personnage meurt dans un épisode ? C’est pour mieux revenir plus tard, avec une explication abracadabrante. Tel autre a toutes les apparences du traître ? C’est pour mieux sortir le héros d’un mauvais pas, quand le faux-ami sera apparu au grand jour. Et comme dans tout numéro qui se respecte, une beauté sculpturale accompagne le magicien pour mieux détourner l’attention.
Certes, ce principe s’accorde idéalement avec le concept du barbouze/illusionniste. Dans ce registre, les derniers albums sont plutôt plus réussis que les premiers, grâce à la complicité d’un dessinateur qui maîtrise de mieux en mieux son sujet. Mais sur le strict plan de l’intérêt dramatique, le coup de théâtre ne devrait être utilisé qu'avec parcimonie. S’il devient la règle, on est alors en présence d’un spectacle de magie, avec tout au plus un fil conducteur en forme d’intrigue policière. Présenté ainsi, c’est déjà beaucoup moins alléchant.
Faisant la part belle à l’aspect surnaturel, ce huitième épisode illustre particulièrement cette dualité. Et, cela devient une habitude, les passages mettant en scène des personnages plus simples (Aïcha et Séléni) dans des situations rationnelles sont les plus réussis. Et si le réel était plus spectaculaire que la magie ? A moins que ce ne soit encore une astuce de Dufaux ? Ce qui est certain, c’est qu’à force d’être déroutante, Niklos Koda ne parvient toujours pas à convaincre totalement.
Nouveau cycle des aventures de Koda et on retrouve tous les ingrédients qui font la série !
Comme à l’accoutumée, le premier tome du diptyque met en place l’intrigue et ses ingrédients. Le trame semble la même depuis quelques albums mais le suspense et l’ambiance sont très bien gérés. Les risques et les dangers se font plus présents dans la vie de Koda et ça ne va pas s’arrêter... pour notre plus grand plaisir évidemment !
Grenson est toujours aux commandes côté graphique et c’est toujours aussi beau !
Allez, j’entame la seconde partie !
L’ennui nous guette dans cet album. Arcanne 16 donne un peu de palpitant en s’attaquant au club Osiris auquel appartient Niklos Koda mais le blablabla, à mon avis, prend une place trop considérable dans ce volume. Quant au le retour d’Hali Mirvic à la fin de l’album, qui revendique la paternité de la fille de Niklos, il donne beaucoup d’espoir pour la suite de l’histoire.
Cette fois Niklos KJoda esst jkugé par son groupe de magie Osiris pour avoir utilisé un pouvoir qu'il n'aurait pas du.
Plus tard, sa patronne de l'agence, lui informe que Seleni sa fille a était enlevé.
En meme temps des membres du club se font tuer par un personnage semblant venir tout droit du passé.
Un épisode assez spécial car beaucoup de magie, mais restant très bien.
Un album qui m'a décu. ll ne s'y passe rien de bien intéressant et le final, bof. Même le dessin et les décors, que j'apprécie d'ordinaire tant dans cette série, ne m'ont pas acroché... Cette histoire doit voir sa conclusion dans un prochain tome, mais je ne vais pas me ruer dessus... Probablement le plus mauvais album de la serie jusqu'a présent.