Gone with the Wind
2. Gone with the Wind 2
Suite et fin de la tourbillonnante histoire de Scarlett O'Hara, dont le caractère intrépide et la passion amoureuse avec Rhett Butler auront transporté des millions de lecteurs à travers le monde. Avec ce deuxième volume, Pierre Alary met le point final à une oeuvre prenante permettant de redécouvrir l'oeuvre de Margaret Mitchell sous son plus bel[…]
== Avis pour les deux tomes ==
Histoire super plaisante de Brüno et Pothier complètement gâchée par la fin. Pourquoi, ô grand pourquoi avoir écrit une fin qui sort de nulle part avec un personnage mystérieux qui reste inexpliqué?? N'importe quoi d'autre aurait été mieux!! C'est vraiment décevant.
Sinon, c'est une lecture agréable, fidèle au style et à l'esprit de Brüno, avec des personnages bien distincts et une tension qui dure tout le long du récit. Très bon dans l'ensemble, il suffit juste d'être capable de digérer la fin!
Une aventure rythmée et punchy dans laquelle Tex et Carson affrontent tout un régiment de cavalerie ! Épatant
Baisse de qualité tant au niveau du scénario que du dessin ! C'est bâclé, les personnages n'ont pas la même originalité que dans le 1er tome, l'histoire n'est pas percutante, on s'ennuie !
C'est peut-être la raison pour laquelle le 3 n'a jamais vu le jour, par manque d'inspiration des auteurs !
es chapitres 42 à 44 sont intéressants et très réussi graphiquement. Le reste de l'album l'est moins. C'est assez plat, et le récit n'arrive pas à être aussi prenant qu'il devrait l'être.
Un album qui nous plonge un peu dans le passé, avec la mort du père d’Alain sur circuit, lors d’une course contre son rival Hayward. Et quelques années plus tard, notre pilote qui se retrouve sur ce même circuit où il doit affronter un certain Phil Castel, qui ne le porte pas vraiment dans son cœur.
Bref une nouvelle rivalité est née et tout ne se passera pas toujours comme prévu..
Ce tome est un peu mou. Pour une série sur les courses automobiles, cet album manque de dynamisme. L’intrigue est un peu molle également et au final, c’est assez linéaire dans le scénario.
Une adaptation dantesque, tout simplement ! Le dessin est simultanément grandiose et lugubre, et suivre nos deux héros dans leur périple relève presque du roman photo. Chaque page est en effet une illustration infernale et majestueuse, et ce jusqu'au bout du voyage. Un ouvrage indispensable.
Si au niveau du scénario et de l'action, on garde de la cohérence, du rythme et de l'intérêt; on regrettera le changement de dessinateur. Sans être mauvais, la différence de style enlève énormément d'âme à cette série.
Les nouveaux dessins manquent cruellement d'épaisseur et d'aspérité. Dommage pour la fin de la série.
Je réagis après ce retour d'Erik67, le summum d'une critique ringarde, texte moyen, argumentation indigente, dénigrement grossier, se résumant à une arnaque..
Kebra est un must. C'est drôle, déjanté, plein d'inventions verbales argotiques, les planches en couleurs (quand elles le sont) sont très belles. Et ça raconte une certaine ambiance des banlieues d'une époque... Ça ne se prend surtout pas au sérieux, c'est truculent, voire hilarant si vous êtes pas trop formaté roman graphique chiant comme la mort.
Le tome 6 est parfait. Le dessin est finalement, lorsqu'on se promène dans les cases, très léché dans son épure : on sent la maîtrise du crayon ; Torti est un grand ; quant à Dal Pra son scénario colle parfaitement à la réalité historique des débuts de la guerre d'Espagne, des conflits internes aux républicains aussi, du passage des acteurs célèbres venus du monde entier (les docs ajoutées dans cette BD sont nourries). Le héros est balloté par les évènements mais il participe aussi, son enquête apparait accessoire mais elle s'intègre dans la grande histoire avec malice. Bravo ! une vraie réussite qu'il faut faire connaître avec la série.
La poursuite de cette série est relancée par l'éditeur Fordis à mon grand bonheur. Le dessin a évolué, s'est encore épuré et durci : pourquoi pas car Torti maîtrise parfaitement son dessin qui deviennet plus expressioniste; Le détective est volontairement, car il a choisi de prendre ce train pour Berlin, mêlé à la grande histoire qui voit le nazisme s'installer dans sa violence en Allemagne; la banalité de la sauvagerie humaine du fascisme est là, la lutte déjà inégale de la résistance au service des valeurs humanistes aussi, et Jan Karta est pris dans l'éteau dont il sera éjecté par chance.
À lire absolument comme toute la série.