Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

L'impertinence d'un été 1. Première partie

30/04/2009 8813 visiteurs 7.0/10 (2 notes)

Été 1942. Un homme prend un taxi pour se rendre sur les lieux du décès d'une vieille amie, Tina Modotti. Prenant son chauffeur à témoin, il lui raconte sa rencontre avec le photographe Edward Weston dans les années 1920, par l'intermédiaire de cette femme. Alors que la révolution couve, les artistes rêvent, vivent de grandes passions et se cherchent.

Les œuvres de Pellejero et Lapière ont toujours quelque chose d'unique. Un pays, une ambiance, un personnage... Ils transportent le lecteur dans leur univers, sans effort apparent. L'exercice est d'autant plus impressionnant cette fois-ci qu'ils entraînent le lecteur sur les traces d'individus ayant réellement existé et marqué l'Histoire.

L'ardeur du climat et des esprits est admirablement rendue par le trait clair et les couleurs à dominantes brunes et jaunes de Pellejero. L'exaltation des protagonistes, leur folle envie de liberté et leur quête permanente de nouvelles approches artistiques et de perfection les plongent irrémédiablement dans un tourbillon de volupté, teinté d'un danger sous-jacent encore mal identifié. Les esprits et les corps s'échauffent, entre les draps ou dans la rue où la révolution menace d'éclater.

Avec L'impertinence d'un été, les auteurs nous révèlent un pan du passé mexicain au travers de ses artistes, de manière sobre et envoûtante. Efficace. Plus que le destin d'hommes et de femmes de fort caractère, c'est un récit de liberté qu'ils livrent ici. Tout devient-il possible du moment où la foi est assez forte ?

Histoire d'amour, histoire de sens, cette nouvelle série se vit plus qu'elle ne se décrit. Si certains peuvent être hermétiques au style et au thème, pour les autres, en revanche, ce bijou de maîtrise du neuvième art est à lire absolument.

Par E. Flandin
Moyenne des chroniqueurs
7.0

Informations sur l'album

L'impertinence d'un été
1. Première partie

  • Currently 3.44/10
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6

Note: 3.4/5 (45 votes)

Poster un avis sur cet album

Votre note :
Vous devez être connecté pour poster un avis sur le site.

L'avis des visiteurs

    Eric DEMAISON Le 31/01/2023 à 14:08:26

    Comme la critique ci-dessous, une BD qui ne m'a pas séduit.
    Basée sur un fait réel la rencontre endiablée et fugace de 2 photographes dans le Mexique des années 30.
    Mais où cela mène-t-il? Que veut nous raconter l'auteur?
    Un évènement même réel ne fait pas un scénario ni un propos. Les personnages ne sont pas incarnés, n'ont pas d'épaisseur. Bref j'écris cette critique une semaine après avoir lu cette BD et déjà je ne me souvenais plus de ce que j'avais lu! J'ai été obligé de la feuilleter pour me la remémorer!

    Erik67 Le 03/09/2021 à 11:01:43

    Voilà encore une bd d'atmosphère qui ne m'a guère séduit. Le contexte aurait pu être intéressant dans un Mexique qui échappe à la Seconde Guerre Mondiale mais pas au règlement de compte d'un certain Staline puisque son rival Trotski sera assassiné à Mexico. Il est question d'une effervescence à la fois politique et artistique puisqu'il y aura un retour sur les années 20.

    On s'attardera sur la relation de deux photographes qui ont marqué leur art. Trop de personnages ressemblants sèment la confusion. Par ailleurs, il y a un mélage entre ceux qui ont réellement existé et ceux qui ont été introduit pour les besoins de la mise en scène. Au final, l'originalité du scénario semble faire défaut. On ne retiendra pas grand chose.

    J'avais pourtant bien aimé des mêmes auteurs Le Tour de Valse et Un peu de fumée bleue.... Or cette histoire d'amour m'a paru bien fade à côté. Il manque quelque chose de primordial pour susciter réellement l'intérêt ou la passion.